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vendredi, 07 novembre 2008

No chemins

IMG_0061.JPGToujours sur une palissade, une question. Celle ci étant particulièrement tarabiscotée, on peut toujours essayer de la relire, à l'endroit, à l'envers, et d'y répondre, encore faudrait-il savoir d'où viennent "les chemins sans fin qui ne mènent pas " et à quoi ils ne mènent pas. Je compte sur le lecteur charitable pour s'essayer à l'exercice de style.  La vérité étant toujours derrière la palissade... Il faudra de bonnes âmes, des têtes bien faites et des gros bras. Le premier qui trouvera, gagnera  la médaille du mérite de CERTAINS JOURS ainsi que les félicitations de la crémière qui lui remettra en personne son gros paquet d'estime, et un bouquet de violettes( si elle en trouve)... Je sens que ce genre de billet s'expose à un bide véritable, mais comme disait Pierre DE COUBERTIN...

Qu'est ce qu'il disait Pierre DE COUBERTIN ?

408.jpg

Ca, c'est la question subsidiaire...  Je ramasse dans cinq minutes. Et on ne copie pas sur son voisin !

Photo: Montée de la grande Côte, sur les pentes de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008 ©

Commentaires

Poser des questions, c'est être vivant et par les temps qui courent...
Je ne répondrai à aucune question mais en poserai une autre : Où sont les chemins qui mènent... ?

Écrit par : gballand | samedi, 08 novembre 2008

SENTES DU PARFUM

La nuit, sur les chemins qui ne mènent pas, les hommes respirent sous leurs peaux de bêtes les parfums du chaos, les arômes noirs et la fraîcheur du lilas blanc. Leur rêve, en forme d'arc-en-ciel, épure les gravats extraordinaires qui peuplent les galaxies de l'hypnose, ouvrage de mineur qui détartre le sel pour en extraire l'eau, plaisir de midinette qui regarde flotter ses chapeaux sous la caresse du vent, austère dévergondage qui sourit sans hormones en écoutant les contes et légendes de la modernité. D'autres autoroutes vicinales, ailleurs, mènent leurs adhérents au même endroit, sans qu'il y ait une plume pour démontrer qu'ici est là sans écart possible, sans la moindre once de différence entre eux, sans le plus petit mouvement d'un cil pour séparer la frontière du regard. Mais autant en emporte toujours la mer, des radeaux pour les méduses, des jardins pour Octopus ou des baleines blanches pour les harponnés par l'arc qui porte la peste sur les chants de l'outrage.

Écrit par : gmc | samedi, 08 novembre 2008

gmc:" Les arômes noirs et la fraîcheur du lilas blanc"... On s'y glisse en silence.
Tout est là. Merci .

Écrit par : frasby | samedi, 08 novembre 2008

@gballand: Bien d'accord avec vous... J'aime beaucoup cette idée de répondre (ou commenter) une question par une autre question ...
La votre est difficile... Et je me garderai bien d'y répondre
sinon par une autre question toujours à propos des chemins qui mènent...

Quand partons nous ?

Écrit par : frasby | samedi, 08 novembre 2008

J'ai lu votre question et je réfléchis.

Écrit par : gballand | dimanche, 09 novembre 2008

@gballand: Vous avez tout votre temps ;-)

Écrit par : frasby | lundi, 10 novembre 2008

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