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vendredi, 23 mai 2014

Métaphore filée

Tout ce que nous ne voyons pas est immense.

Rouletabille in "Le mystère de la chambre jaune" par G. LEROUX. 

neu.jpg

 

Adolphe essaie de cacher l'ennui que lui donne ce torrent de paroles, qui commence à moitié chemin de son domicile et qui ne trouve pas de mer où se jeter (*)

  

Nota (*) : extrait des "Petites misères de la vie conjugale" de Balzac.

 

Photo: Tout est .  

 

Aux champs © Frb 2013

20:36 | Lien permanent

Commentaires

Bonne journée bises !!!

Écrit par : patriarch | lundi, 11 mars 2013

merci pour votre amitié, Patriarch
excellente journée à vous, également,
(je file ! ;-)

Écrit par : frasby | lundi, 11 mars 2013

mon rêve!! montrez ce que nous ne voyons pas ;;)))))
bises

Écrit par : catherine L | jeudi, 14 mars 2013

@ catherine L : le rêve des photographes (sourires)
des peintres aussi sans doute... Gardons bien cet état de rêves, tout montrer nous abuserait ou nous désabuserait qu'en sais-je ?
Souvenez vous du plus ou moins pseudo-peintre un peu marlou joué par Jean Gabin dans "Quai des brumes" quand un gars croisé par hasard lui demanda : "qu'est ce que vous peignez ?"Il répondit (voix de Jean Gabin mystérieuse et désabusée") je retranscris grosso modo
- Je peins les choses qui sont cachées derrière les choses"...
Heureusement que nous ne voyons pas tout... ça c'est moi qui rajoute, (avec la voix de Michèle Morgan, devant votre objectif
amusé (et amusant ;-)

Écrit par : frasby | jeudi, 14 mars 2013

photo/gabin/morgan : forcément dire

"t'as d'beaux noeuds tu sais"

Écrit par : hozan kebo | dimanche, 17 mars 2013

@hozan kebo fait du cinéma :) forcément c'est tentant,
du cinéma-vérité neurasthénique, qui plombe le romantisme sans tortiller
elle répond quoi Ficelle Morgan ?

Écrit par : frasby | lundi, 18 mars 2013

Les commentaires sont fermés.