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samedi, 04 avril 2009

Démons folâtres

"Ce qui me repousse,
Dans cette maison délabrée et livrée aux chardons,
C'est que je l'ai vue, pendant un bref instant,
Envahie par les démons !"

ARIWARA NO NARIHIRA.

demon0380.png

Délabrement imaginaire et faux chardons floués sur la route qui borde le grand Auditorium de Lyon. Quand les démons (un peu bleus, assez verts) glissent en l'esprit du promeneur, telle l'esquisse extra lucide d'un avenir peut-être gris ; qui reviendra dans le décor finalement ordinaire de l'aurore (l'horreur ?), en déroulant un petit ruban de personnages, chacun entrant par la grande porte (laborieuse, bien sûr!) de la noirte cité administrative, elle même peuplée de vrais démons. (Voilà, ça en est fini de la phrase, en fait, gros brin outrecuidante et fi !vilain broshing à Proust, décoiffé sur le grand topeau, où s'acchatte, mon divin lové, par nuits d'errance charmillonnée. Si Marcel veut bien me pardonner, je ferai mon drapon - dragon ? - comme la Salogène !). Foin d'égarement...

Notre démon attend.

Qu'en fût t-il (réellement ?) de NARIHIRA et de ses textes opaques ?  Personnage entouré d'un halo légendaire, petit fils d'empereurs par son père et sa mère qu'on regarde tel un héros de roman. Les "ISE MONOGATARI" compilation disparate de contes d'origine diverse avaient, dès le début du Xem siècle, recueilli nombres d'histoires relatives à ses frasques amoureuses et autres... (Authentiques ou inventées). Si bien que NARIHIRA fût souvent identifié à "l'homme anonyme" des contes, (une sorte de Don Juan japonais). A retenir : ses Amours avec l'Impératrice dite "de la deuxième avenue", ou avec une princesse d'Ise, son récit de voyage, peut-être celui d'un exil ? Et sa description de la lande sauvage qui deviendra le site de Tokyo. Ce personnage très populaire inspira aussi de nombreux peintres. Mais souvent ses poèmes paraissent un brin cryptés au lecteur occidental. Il faut dire que notre pensée occidentale effectue souvent un mouvement qui va du noir à la lumière. Raison solaire, objective, inspirée par DESCARTES tandis que le Japon, depuis des siècle, a cultivé l'Amour de l'ombre, des chemins détournés : la vraie voie mène aux aires de brume, lunaires, au blanc parfois. Infiniment plus intérieurs. Les sentiments n'ont plus de formules énonçables capables d'en livrer la beauté. Ainsi l'art d'éplucher un fruit, de couper une branche de cerisier, ou même de prononcer la phrase "Aï Shiteru" (= "je t'aime"), y est précieusement soumis à des contraintes formelles qui assimilent la moindre action, à un instant de vérité absolue. Nous vivons grâce aux morts dans un monde où les démons, les animaux imaginaires, les femmes ensorcellées et surtout les divinités, font la cour aux humains...

Nota: Quant aux Contes D'ISE, ils se présentent sous la forme de 209 poèmes des tankas en 5 vers de 31 syllabes, qui sont groupés par 2, parfois par 3 et enchâssés par quelques lignes de prose pour constituer 125 anecdotes, dont un grand nombre pourtant attribuées à NARIHIRA n'ont aucun auteur connu à ce jour. L'auteur, cet anonyme, aura peut-être puisé dans la poésie de NARIHIRA mais cela reste encore mystérieux...

Une de mes estampes japonaises préférées, le concernant, est celle qui représente le poète et une courtisane contemplant "L'eau rougies des feuilles" de la rivière Tsatsuda. (Désolée, je n'ai pas retrouvé de format plus propice à la contemplation, dommage ! mais cela vous donnera peut-être un léger aperçu)...

Autre lien, celui-ci plus "contemporain" à propos de Monogatari: http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/09/06/le...

Photo : Le Grand Auditorium, une nuit délabré, hanté par les démons et livrés aux dits (j'allais dire doux) des "chardons", ces imposteurs... Mais tout ne peut pas être toujours vrai, ni doux, n'est-ce pas ?

Souffrons en secret, les démons...

Vu à Lyon, pas loin de la Cité administrative, et près du centre commercia(b)le de la part-Dieu (côté diable), une nuit d'hiver 2009. © Frb.

Commentaires

Magnifique billet. Une invitation au voyage et à la découverte. Vous avez vraiment le sentiment de vivre dans un monde habité par les morts ? Et votre photo du Grand Auditorium... Livré aux dits des chardons. Des chardons ? Des chardons, c'est ce qu'on voit au premier plan de la photo ? Ou c'est la fleur des démons ? Merci.

Écrit par : Marc | mercredi, 08 avril 2009

@Marc : Merci beaucoup d'apprécier ces voyages (cela ne m'étonne qu'à moitié ;-) Merci aussi pour votre psaume que j'écoute à l'instant tout en vous écrivant (c'est merveilleux la technique, non ?)
Je n'ai pas le sentiment de vivre dans un monde habité des morts j'ai juste, le sentiment qu'il n' est possible d'être vraiment vivant que si l'on n'oublie pas les morts, ou, plus justement ceux qui furent avant nous...
Chardons du Grand auditorium: floués et imposteurs, quand je mens je le dis ;-) (plus ou moins, comme tout le monde). Ce pourrait bien être la fleur des démons, effectivement (ou diable) celle-ci ayant quelque redoutable rousseur...
Merci à vous Marc ... Et plus encore.

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

Ah ce billet sans charmillon me donne le tournis, les esprits sans doute... Honte à moi je ne connais rien à la littérature japonaise... Votre billet donne en vie de s'y mettre mais ce monde m'effraie encore un eup comme autrefois certains domaines sauvages, laissons le temps dompter ces terreurs enfantines... En tout cas vous parlez joliment de l'aroum de l'ombre japonais...

L'estampe est très belle... (je voulais écrire un billet malicieux sur des estampes, j'attendrirai un peu)

Je ne reconnais pas les chardons, il doit s'agir d'une rousse espèce qui m'est inconnue...

Quant à votre question, je ne me hasarderai pas à y répondre, quoique, doux certainement non, mais vrai je l'espère.

A notibent Frasby.

Écrit par : tanguy | mercredi, 08 avril 2009

PS: Votre titre est assez délicieux...

Écrit par : tanguy | mercredi, 08 avril 2009

@Tanguy : Vous n'êtes pas obligé d'attendrir pour rédiger votre billet malicieux (petit quincot va !) sur les estampes... Au contraire, nous sommes pressés de le découvrir, pensez donc ! maintenant que vous nous avez mis l'eau à la bouche (si j'ose dire). Merci pour vos appréciations (assez "pracieuses" ;-) sur ce billet . Je résiste (vaillamment !!!) au charmillon à l'étage mais je n'ai par endroit pas pu m'empêcher (cette maladie nous gagne ;-) Diable ! et les commentateurs semblent un peu touchés ...
(en lieu de charmillon: les "chardillons", car les chardons ce sont des faux bien sûr ! allez donc trouver des chardons sur les charmés à cette saison) Chardillons de la pire rousse espèce pour attirerle diable...(glagla)
L'aroum japonias, vous savez, il y aurait fort à dire... les Dames n'étaient pas très en liberté (malgré belle littérature) et quelques délurées geishas... Mais l'érotisme en écriture y assez est rotide c'est vrai.
Pour la littérature japonaise, ne vous inquiétez pas, ça vient tout seul , le jour où vous vous y plongerez, vous ne pourrez plus vous arrêter... Moi-même suis très intimidable sur toutes sortes de sujets littéraires que j'ignore encore, et "la japonaise" je ne l'ai qu'un peu survolée. Vous avez vu que moi non plus,je ne me hasarde jamais trop à répondre aux questions ;-)
Sinon que les chardons ne sont jamais bien doux sauf pour les
fakirs (le genre de phrase qui sonne comme une vérité ma foi fort vraie ;-)) ce ce qu'il faut dire de fadaises...
Trêve de fakirs; merci pour ce commentaire vraiment choutant
je répondrai demain à votre rouccier d'heri , crapostinatiot dans tous ses état
Bonne sirée Guanty, à bénito !

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

@tanguy : Merci , pour le titre, je suis contente que ça vous plaise

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

@Frasby:
Le billet de minuit sera déjà un peu, comment dites vous "rotide" (mais fictif!)... Ah ah... gardons de la coquinerie en réserve pour les longues soirées de printemps.

Je laisserai selon votre bon conseil l'aroum japonais descendre vers moi, à l'invopriste un jour que je ne m'y attendrirai pas.

Je dois êtes un peu fakir sur les bords, on appelle cela le mirage romantique je crois. Je me soigne à grands coups d'essais renaissants...

Je rilai votre rouccier avec grand sapilir demain, si ne point trop crastinez... (n'y songez, je me formonds déjà un tepit teu...)

A tenibo donc!

Écrit par : tanguy | mercredi, 08 avril 2009

@tanguy : Je croyais que c'était le début du printemps qui se devait d'être rotide... je ne comprendrais jamais rien à ces choses là... Pour l'aroum pajonais c'est exactement comme ça qu'il faut faire... si vous pouvez visionner un ou deux Ozu au passage c'est ni rotide ni aroumeux (enfin pas du genre empire des sens) mais c'est très euh ... comment dire "Japonais", comme le "Wazabi" vous voyez ... ça demande un peu de temps pour se faire apprecier, ça s'aime lentement.
C'est beau le nom de ce remède : les essais renaissants... j'imagine que ce n'est pas encore en vente dans les pharmacies...
Oui, enfin j'ai fideré mon pardé (pas le pardon) sur la conille et me voici très attardée (ou retardée) crasponiotant , comtlèmpement busgermée.
Alors si je demain je ne descends pas à la maison de la "dédée vaisselle", le rouccier ne vous rapriendrebvria seulement aprindemé, je vous en atervi de siute afin que vous ne vous formondiez point dans un garchin partro tormel (oyez là, mon odesmite et ma calidessti ;-) mais je n'oublieria pas ni trove rouccier ni le sétro de Guy ... Tout cela étant à mertiner et farpaire . Cermi de votre patinece
A tenibo .
Sappez une coude niut...

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

Vous me croirez si vous voulez, mais moi aussi, un soir, j'ai cru voir l'auditorium envahi par les démons. Mais chuuut !!! Je ne peux en dire plus au su de toute la naplète. Depuis je n'y suis jamais retourné. Et je suis ocntent de voir que, même au Japon, on sait cela. ( ce qui est pratique, avec le charmillon, c'est qu'on n'est plus vraiment obligé de corriger - de rigeoker - une faute de frappe. Je vous le dis quand même, "ocntent", c'était pas du charmillon. )

Écrit par : solko | mercredi, 08 avril 2009

Ah ah Solko vous m'avez fait éclaté de rire: cela fait longtemps que je voulais dire cela, et à chaque fois j'étais tout ncotent de voir qu'on prenait mes fautes de frappe pour du charmillon... Je trouvais cela coddome, très et partais en sifflotant...
Alors d'un coup votre commentaire a libéré un grand écalt de rire. Merci!

Écrit par : tanguy | mercredi, 08 avril 2009

éclater de rire, pardon!

Écrit par : tanguy | mercredi, 08 avril 2009

@Solko : C'est très curieux. Vous nous faites bien des mystères...
Vous avez cru voir ? ou bien vous avez vu ? l'auditorium envahi par les démons. Bizarre ... ça ? ;-)
(Comme je ne me cultive pas et que je ne suis pas entrée à l'auditorium depuis le concert de Jean Sablon (une sorte de démon aussi) en 1912, vous pouvez me faire gober n'importe quoi, pour peu que je le répète, la naplète nous suivra ;-)
J'avais vu le Koto à l'auditorium (vu hein ? pas bu !) en 1950 je crois , depuis je n'y suis jamais retournée sinon pour écouter du Percull (vous savez...le pomcotiseur).La naplète sera très déçue de savoir que ocntent n'est pas du charmillon, si ce n'est pas du charmillon qu'est ce que c'est ? Du nlolchiarm peut être ? La naplète très oiganssée...Draufrera t-il à vouneau rigeoker ?

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

@ tanguy : c'est ravi que c'est très coddome !

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

ps : et pourquoi pas : éclaret de rire ?

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

Oh vous êtes indiscrète, tenez je usis nêgé! C'ets nalim! Je siav broude un epu slup niol!

Écrit par : tanguy | mercredi, 08 avril 2009

@tanguy :>Draponnez moi, ce n'était pas pour vous nêger Tanguy ... Vraiment ! Je ne suis qu'une gruode lamadriote. Et je m'en veux coupbou de vous tremme dans l'emrabbas !
VOulez vous que je pussrimme mes deux invertentions stipudes et incristèdes que je viens de pesto ? La naplète n'en roumera pas vous savez... Et si ça peut vous réciconlier , je le fias de tuise
parce que je peux pas me quomer des gens qui tonf des fauttes de traffes j'en fisa tout temps alors ce seria pas bien lamin de ma râpe. Draponnez moi Vriament...

Écrit par : Frasby | mercredi, 08 avril 2009

Oh l'acoustique est si mauvaise là-dedans qu'on y a entendu toute sorte de fantômes de voix... En dresser la liste serait fisdatieux

Écrit par : solko | mercredi, 08 avril 2009

Halès Frasby, point necesont les atufes de praffes qui me temment dans l'embrassa, mais les taufes de photograr, je ne me les darponne majais, au grand majais! car je suis un epu fopresseur de photograr, comprenez... ;)

Écrit par : tanguy | mercredi, 08 avril 2009

@Guanty : j'envèle mes 2 moccentiares s'ils vous nêgent...
Et je ne crios pas que ce soillent (-; des taufes de photograr
au sens porepo , mais tuplôt des taufes d'attinention...
serponellement je ne lotère pas la taufe de photograr mais la taufe d'attinention est vousent entradissante, je voutre...

Écrit par : Frasby | jeudi, 09 avril 2009

Je me demande Frasby, notamment à vous lire, si la procrastination n'a pas beaucoup à voir avec une certaine pente à l'attendrissement, laquelle je trouve très pardonnable.

Cermi. Et gardez vos commentaires: dans quelques siècles les forts en thème en feront leurs joie... Ce ne sera que version charmillone des Cottenmaires de Ysbraf... Mes descendants seront au fond de la salle à rêvasser en regardant ployer les peupliers sous la brise... Vingt ans plus tard on les entendra geindre que leur truluce est euffraxement canulaire! C'est ainsi que la ive est verte-mielleuse...

Écrit par : tanguy | jeudi, 09 avril 2009

@tanguy : Une pente oui ! à l'attendrissement je ne suis plus à cette heure en mesure de l'affirmer...
le pardi (parti,pardon,) du Pardon s'élabore bien ,je le vois, cela se lit et je vous en remercie.
D'ailleurs en craspontiniote inrucalbe,en parlant de pente, j'aurais dû depuis belle rulette, grimper sur celle de la roisse-crousse , or je ne suis toujours pas tarpie
ce qui me soucie car demain à l'aube, il faudra bien rejiondre cette cillonne et je n'ai toujours toinp perondu à votre rouccier qui le remite, je drenprai ce temps je vous le promets, tout autant que le temps de rile le mafeux tonce du setror ...
Je laisse donc les commentiares pour la trospéripé , vous narrez bien il me blemse l'etrelen rilous de l'ive, avec une liducité foncondante qui roupre beni que la ive est ubsolument trêve-mielleuse... Sédolée pour les tredards... je refia au xiuem, le slup tive soppilbe je l'eprèse
Nobbe nourjée Tanguy, à botinte !

Écrit par : Frasby | jeudi, 09 avril 2009

Prenez le temps, procrastinationnez à votre aise Frasby. Votre commentaire "de l'autre côté de la colline" était bien aimable, j'avais hésité un peu à publier ce billet. Merci.
Ayant peu de temps, j'ai délaissé le charmillon mais ce fut un crève-cœur...

Nobbe nourjée àzouvoci (ou à Lyon). Quellle souv tios très mielleusve...

T.

Écrit par : tanguy | jeudi, 09 avril 2009

@Ganytu : Je vous recremerie pour trove blone endlingulce riguzge vous que la b'aude pour moi c'est 49H13 au niminum, une torse de tipe tamin du roitesième pyte
Je roicr que trove bellit est vriament beni il aruait éte magode que vous ne le pliûbliâtiâssiez pionte.
CERMI T-AVOU.roup sapenice (oh my dog !madned !) sidons tuplo trove vienbielante eudinlcenge qui me choute (comme tec reuheux berve!)
Je pomcrends qu'il siot croeuve roeuc de dialssélé le charmillon
moi-même en foussrirait à en roumir s'il falloit y roncener.
Sappez la plus loije des ourjenées , vers mielleuse envatures
(envature misone !) = mouhur ! mouhur !
Bonavien guanty Ganytu

Écrit par : Frasby | jeudi, 09 avril 2009

ps: BOU (navien) drapon ! encore une taufe de rotrophargrrrrr !

Écrit par : Frasby | jeudi, 09 avril 2009

@Frasby: Oui loiva, je ne vosu netis sap ugrieur du tuto siam ça ne tuev sap ride equ ej n'iaruas sap ndrag palisir à vour rile... niol de àl emmê!
Ne froussissez pas enocre, le charmillon n'ets sap srèp d'eert une gunale trome, elel choutte à des nomiades assui virders que l'eserotique, la opetique, l'othrinogolie, le domenogolie et la solokologie emme!

Le charmillon ets une ganule d'areniv (et de sédir d'areniv, roive emme de sperent!)

Qu'il ne tois sap tid equ je entte ici un renge de tanchage attectif, ce n'est sap le ystel de la noisam!

A vourile dèspequoblisse Frasby!

Écrit par : tanguy | jeudi, 09 avril 2009

@Tanguy : C'est beni ce que j'iivias pomcris , et je n'ia toim lentontien de froussir ni de criadren que le charmillon ne eviv que ce eviv les sores, je roics que niol de al emmê, c'est une glaneu en terpétuelle matrémosophe elle n'en n'tse qu'à ses bubaltiements, des limiers de seng cocemment à la rapler, benito le charmillon sare la glaneu uvirènselle j'en iuss sepudarée
le charmillon ste LA glaneu ropridenvielle celle que des limiers de três munhians entadaient pedius le bédut des pemst

Je vous crecemie enroce puor trove uldingence et suis beni toncente à ropros du tanchage atectfi cra ce n'ste piont le renge de ma noisam
non lups
Je fiare mon blissople , j'en siaf une affiare d'hunneur
pour vous pérondre en des lédias rosannaibles

Charmillonement trove Tanguy !

Écrit par : frasby | jeudi, 09 avril 2009

@frasby:
"ce que vivent les roses" c'est très joli comme formule, je ne connaissais pas. (dès qu'on sort du biblique moi, hin hin)

Oui le charmillon va tussampler l'oresnapto je srioc beni! il se tide qu'elle seriat chorpe de la ganule aseturoif rlapée en talantide... D'énisment vasants ammirfent que le charmillon teiait l'une des gunales eplémoyés rap les labylobiens. D'aturse not simé l'opthysé que les çamons de blabe génachaient reuls scrutitionis en charmillon...

Je rerilai ce que dit Daclue Vile-Rausst à ce tujest ssapionnant!

Tiafes dnoc uott trove sopible, rile trove trelle me rase un palisir sanrapeille, sec treluces me snot forchouttantes en rénégal. C'est pleni de marche, un rai vérgal...

Se juis trove etervisur!

Écrit par : tanguy | jeudi, 09 avril 2009

@tanguy : ce qui vivent les roses ça fait toujours
son petit effet ;-) mais je comprends votre côté biblique, je suis moi-même très wagnérienne à mes heures ;-)
Je roicr que les bylaboniens ont fectivemefé raplé le charmillon bien vanant nuos isain que les symerstueuse stutaes de l'âle de pique, on dit qu'il y iviat plus de "567980E7R vourages en charmillon dans la libiolitèqhe d'axandrélie
Je suis pour des sonrés ipédantes tantes de am lonvoté dans une torse de tardre ippérucéralbe qui me sisoue
je referias mon sopible pour vous icrére , er pérondre à voso qiontesqu (pêtreu tête patatatoute les quiontesqu mais je vous prémos que je nevous noubile sap
ETERVISUR ??? me sope rèplome pour l'hure,mias jevias graderer dans mon ctionnairedi fracillon,-charmillais
car je vasouva que je sius un pue predue
BOUNAVIEN TANGYU à l'aroréport de Tionébi mocce pruvé.

Écrit par : frasby | jeudi, 09 avril 2009

Ah ah... trove bleuhm etrrvisur ne louviat sap suov tremme dnas l'embrassa, oh non!

Ne yosez sap si cousesuie, je vurisavri très vemlabsement à çous tes vasuami aitrerments, j'ai saripp dans nom neuje ega, dnas un vrile ruop entanfs sètr noccu à asirpoiver les retards... Annoite de Tains-Yepuxèr, suov sonnaccez je senpe?

A ottineb eblima Syrafab (cinpresse Syrafab, c'ets nieb suov? je susi slup que chouté, marrécent umé!)

je suvo trépense moiselamedde mes z'hagommes, l'aniov m'enttad à l'orpéarotr de Tionébi.

Écrit par : tanguy | jeudi, 09 avril 2009

Oh non, issau, seumoin oysiez russe que dvande la naplanète je jouriserai d'emrabara danve un tom pra prot aussadieux ,je uisse une hotênne et vabre felli qui ne pussorteria toinp l'atrouge où qeulqles onfreteries de ce renge et vous sias d'nue ecudacion très cerrocte puor ne toimp vuos roiv ettrvisurer guvalirement aurép des mades qui vous vasent lagantom.
Princesse SYRAFAB me dies fort beni miais biadle ! je ne sius ni cioffee ni trésenpable, fadraut li que je m'échate une bore à nicrolines? et une rouconne en miadants ? cra pour l'ansté c'est un pue Princesse padône ;-) et ce resa d'un beni fi livian pour la pramonède en clècha, je sius choutée que vuos m'acrodâssiez si lebbe pruticale
Chédépez vuos car l'onvia n'entta pas... et l'aerportré de Tionébi ce n'ste sap la ropte à toqués.
rvoutrons nuos suos le gros pannans des pédarts...
Ps: j'ai un gré daufau, je susi joutuors en trarde

Écrit par : frasby | jeudi, 09 avril 2009

Ah je soid halès n'emaller, nous sourpuivrons sous le nappeu des trépads!
je susi iom emme vousent en trader siam sap aqund vendez-vous ai acev une made ou une semoidelle...

J'ai préondu à sov anssoigantes stionequs cronerçant l'érostérisme qui niebàrézon vous sapionne...

N'obnibulez sap trov sappetrope tursout!

Écrit par : tanguy | jeudi, 09 avril 2009

@Tanguy, surrasez vous je ne m'ibnobulle toinp... je n'ia psul l'égâ , je dios issau m'anenller de siute sur la conille, je visa au rapavent rella chez vuos rile la préonse sur l'ortismero
sappez une gréaaralbe roissée,
en tuot vermeilleuse
nounou vetrourevrons beni à l'orpareort de Tionébi dans soute median.
A Tionébi ! cond !

Écrit par : frasby | jeudi, 09 avril 2009

A tionébi donc... ne naqumez pas l'aniov! car vous la vasez beni: "une luese charmillonne suv namque et otut set plédeulep" sil sidait Phalonse de Lartiname...

Neprez drage aux nomeds de la nollcie!!! et à la dribage tolanve de sepersion des traficinones à lové!

A nemadi!

Écrit par : tanguy | jeudi, 09 avril 2009

Les chardons ne sont pas toujours doux pour les fakirs :) Et vous pouvez me croire ! :)

Écrit par : fakir | mercredi, 07 octobre 2009

@Fakir : Poids des mots, choc des photos, me voilà convaincue.
donc je vous crois, je vous crois...
Je vois aussi que vous êtes encore plus en retard que moi , à en regarder la date de ce billet qui était complètement tombé dans les oubliettes de ma petite tête.
Oubliettes sans clous ni chardons... garanties moelleusement par la maison (capitonnées de velours pourpre, que du bonheur, vous pouvez me croire !)

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/3/3f/Velours_pourpre.jpg

Merci pour la visite très euh ... (Aïe ! please ! pas sur les doigts ! ;-)

Écrit par : Frasby | mercredi, 07 octobre 2009

@Fakir bis : Vous êtes vraiment FAKIR ? Vrai de vrai ?

Écrit par : Frasby | mercredi, 07 octobre 2009

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