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dimanche, 10 mai 2009

Comme un dimanche à la campagne...

A sesmieurs les dindons et autres edams dindonnes du naf club imsarpial à qui Lavitate pliât et uax utraes saspionnés de véchas.

"J’aime Dubuffet parce qu’il a peint quatorze vaches qui ne sont pas les vaches de tout le monde. Ce ne sont plus des vaches, ce sont des vachissimes, avec des pieds en fourchette. Mieux : des minauderies et des grâces printanières."

ALEXANDRE VIALATTE. Extr. "Que peut-on penser de monsieur JEAN DUBUFFET ?" in JEAN DUBUFFET / ALEXANDRE VIALATTE : "Correspondance(s), Lettres, dessins et autres cocasseries, 1947-1975. Éditions : Au Signe de la licorne.

tête de vache X0 - copie.JPG

On sait qu'Alexandre VIALATTE et Jean DUBUFFET étaient de bons amis et par delà leur petites coquetteries d'hommes tout à fait exquis, leurs virées de belle guigne dans le profond Morvan ; ils furent deux bougres épistoliers à la production pléthorique et autres taquineries cocasses. Mais en parlant de coquetterie revenons un peu au début de cet écrit où le grand VIALATTE ne tarit point d'éloges sur l'apparence de son ami, avec à peine quelque vacherie et un charmant Co(n)chon-Quinette qui fournissait, (le saviez vous ?) l'uniforme des pompiers de Clermont Ferrand dont les tissus furent réquisitionnés pendant la guerre, pour vêtir nos armées ce qui posa un gros problème aux fournisseurs et aux pompiers ;-) nous reparlerons de cet évènement trop méconnu peut être ici un certain jour (j'ai dit peut-être ;-)... Trêve de gridessoin. Revenons à nos dindons. Je cite VIALATTE dans le texte (pour le plaisir des belles lettres et de la parenthèse) :

"On me demande pourquoi j’aime Dubuffet. J’aime Dubuffet parce qu’il est charmant ! D’abord il a des petits cheveux tondus ras, bien frottés à la toile émeri, qui lui font un crâne de légionnaire, des yeux bleus en toile de Vichy, bien lavés de frais, qui se souviennent d’on ne sait quels fjords ; il est toujours bien lavé, bien propre, bien joli, bien appétissant ; il est mignon comme une image de dictionnaire. Il se coiffe à Londres avec un petit chapeau moutarde ; il s’habille, il se chausse à Londres, chez le plus grand bottier d’Angleterre, D’Europe. Du Monde. Petit à petit sous mon influence, Dubuffet s’habille dans le Puy-de-Dôme. Il se sert chez Conchon-Quinette, établissement de grande réputation, aux succursales nombreuses, réellement apprécié. Il en acquiert une élégance pour ainsi dire plus départementale, une dignité plus auvergnate et un fruité plus onctueux. (...)

(Note serponnelle en apraté: que le "Naf club de Lavitate" ne m'oivene toinp ses droufes car ce sont toinp des nocerines, l'eau s'en foin !)

Du fruité onctueux il y en en a dans "les vaches" de Jean DUBUFFET avec leurs prénoms de vedettes. L'Art des musées n'étant pas le sien, DUBUFFET peu soucieux de croquer fidèlement les appâts de l'attachante bête la pourvût de quatre pattes banalisées comme on en fait en maternelle c'est beaucoup mieux comme ça non ? Et pourtant l'Art s'y retrouve beaucoup plus qu'honoré voir le billet suivant, ou précédent (selon la logique de chacun). Et j'ai lu quelquepart (sous la plume d'Alice BAXTER que : "Quiconque a croisé un jour une vache de DUBUFFET en est à jamais habité". Et c'est tout à fait constatable. Car la vache est le doux de nous, et monsieur JEAN l'a bien compris. Sous ses doigts "vachissimes" chacune de ses vaches a son petit caractère. Doucement serponnalisées, DUBUFFET les sort une à une du troupeau, chacune heureuse, bien dans sa peau, dont le grand coeur s'affirme à vue d'oeil, avec tout le vigoureux qui épouse en diable leur prénom. Pour mémoire entre autres  : "La belle fessue", "La belle encornée", la belle muflée", "la belle tétonnée", "la belle queutée". Belle ! oui, car chacune est digne et nous rapproche de la série "des corps de dames" (Je vois déjà doinpre les goinps graeurs des chardes de griennes et utraes LMF, têpre à ivrour leur dangre gelue, du celma ! les berelles !), la comparaison n'est pas déplacée  puisque la série "vaches" vînt après celle des "corps de dames". Et il n'est pas possible vraiment de disjoindre les deux, "les vaches" de DUBUFFET sont pareilles aux vraies dames, tandis que "les corps de dames" sans être tout à fait vaches acquièrent un je ne sais quoi d'épaisseur animale sous la plume Dubuffienne, une robustitude que ne renierait pas mon Immaculée "Charollaise". Il suffit de regarder ICI ou LA pour mieux lier les sujets... "Vache au pré noir", "Vache au pré vert", "Vache au nez subtil" (une de mes préférées) Dame "la vache" va à son pré comme s'il était lui même issu de son pelage et réciproquement, ça se passe comme ça chez DUBUFFET. Vache libre, délicieuse, insolente et coquette ; la vache de DUBUFFET broutera jusqu'à la corde la moquette des musées mais elle a le regard si tendre qu'il ne lui sera rien reproché.

Pour voir un vrai clin d'oeil de vache (non Dubufienne). Trinité en couleur de nos sacrées "Immaculées Charollaises", cliquez ci-dessous:

http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/07/23/co...

Photo : On ne touchera pas à celle-là, ma "Blanchette", belle fessue, bien encornée, muflée, tétonnée jusqu'il faut, joliment queutée, avec son petit caractère, sa mise en plis "Salon Gisèle" (les mises en plis des vaches, me fascineront toujours), ses grands cils de chamois et ses belles paupières blanches en fourrure véritable. Dame "Charollaise", ne se laisse pas marcher sur les pieds (Ah ça non !). Vue dans son pré, du hameau "les clefs". Les clefs des champs, sans doute (ça ne s'invente pas). En sépia parce que la photo date de mai 2007 et qu'avec l'arrivée du grand Paon, soudain la vie perdît toutes ses couleurs. Oyez le fumeux argument, prochain voyage aux pré des clefs, promis je repeindrai ma vache en vert. © Frb.

Commentaires

Vachement bien tout ça, Frasby, et "la belle queutée" c'est vraiment très mimi, j'adore!!!!

Écrit par : Sophie L.L | lundi, 11 mai 2009

@SophieLL : c'est toujours un plaisir de vous retrouver. La belle queutée, au féminin est toute candeur , c'est vrai. Et j'ai bien vérifié en regardant les yeux de ma Blanchette (si elle n'avait pas quelques tâches de rousseur sur les paupières *) que nenni !
mais par contre des paupières sont en fourrure ( et je crois qu' on en rencontre que très rarement chez les humains)
Voyez comme je pense à vous* ;-).
Je suis contente que vous aimiez bien tout ça ( vous êtes du fan club de Vialatte, il me semble ?)
Bon lundi Sophie LL ! A bientôt !

Écrit par : frasby | lundi, 11 mai 2009

Attaquer la semaine en croisant le regard narquois d'une vache qui se demande en nous voyant machonner un chewing gome si nous aussi on ne serait part, quelque part, du genre ruminant de la basse espèce? et puis comme les trains qui passent, notre regard se laisse transporter sur cet exposé de l'art de DUBUFFET ! UNE VRAIE TËTE DE lard CE BON HOMME qui a choisi d'ordonner avec rigueur une autre notion de l'art brut de décoffrage, une sorte d'interjection artistique pas toujours simple à comprendre. Forcement ça réveille et puis pour finir J'aime pas cette mode laitière qui consiste à couper les cornes des vaches. moi j'aime bien que les vaches ( charollaise et autres) restent vaches de la tête aux sabots.
MEUHHHHHHHHH!

Écrit par : alex | lundi, 11 mai 2009

@Alex : Que lis je ??? une mode laitière couperait les cornes de nos véchas ??? Mais c'est épouvantable. (on ne me dit rien à moi, tant que partout des barbares coupent et
suppriment... !) déjà qu'en Charollais le style (gothique ) est très tendance chez nos blanchettes (et nos biquettes): On leur tatoue des chiffres (noirs ou! violets dans les oreilles !)ça fait très genre... Mais des vaches à cornes coupées je n'en n'ai jamais vues. Je suis ravie de te retrouver Alex. On aurait bien aimé une rencontre DUBUFFET Arthur CRAVAN, (mais monsieur Cravan restait injoignable.) c'eût été une rencontre au sommet (ou au buffet pourtant : deux tête de lard doublées de deux beaux ruminants des synapses (je dis synapses pour faire joli mais je n'ai jamais de synapses en vrai) Ca me rappelle qu'à l'école je me suis fait punir par melle Pugeolles à cause de mon chewing gum , quand elle m'a dit on n'est pas chez les ruminants ici et que j'ai répondu -si !
Je fus punie pour insolence (outrage à professeur!) et pourtant je suis sûre que j'avais raison , ce qui confirmerait ta théorie.
Quant à DUBUFFET, pas si simple à comprendre,(dans son ensemble s'entend!) mais je ne crois pas qu'il ait tenu tant que ça à ce que son oeuvre soit comprise, le monsieur était très multiple et brouillait mine de rien ses pistes, tout en restant lisible, très très étrange, le bougre ne se laisse pas aisément traiter (si j'ose dire). Merci pour ta visite, et ton cri de guerre final de la tête aux sabots que nous voulons des véchas entières. pour une fois nous ne crierons pas "mort aux vaches".

Écrit par : frasby | lundi, 11 mai 2009

ah oui les vaches oui
ah la merveilleuse béatitude
stupide dans le regard
des vaches
ruminant ruminant ruminant
une absence absolue de pensée
mais de l’herbe voire même du serpolet

saintes vaches en extase simplissimement extasiées
par le va et vient de leur panse à leur goule
aller retour lent mais sans labeur
mastication sans hâte ni souci

ah être heureux comme
une belle vache alanguie
dans son pré
comme en une sorte de jardin
d’un eden coutumier

certaines même ont pour nom :

« abondance »

Écrit par : hozan kebo | lundi, 11 mai 2009

@Hozan kebo :
Gros moelleux du poème
La Blanchette a bon dos
Et on aime (à dos de vache),
galoper dans la plaine
De Charolles à Lozanne
jusqu'au vacher qu'est beau.

Certains jours (pas trop vaches)
On n'est pas soupe au lait
Certains jours (pas trop laids)
On est même pousse-aux-vaches

PS: La Blanchette et ses belles tétonnées mille fois vous remercient.
Que soit béni le serpolet ! le pissenlit, la camomille
par Pis douces en pré posées.
Pardonnez moi, il faut que je vous laisse,
Marguerite s'est encore sauvée.

Écrit par : La Berthe kèmebien | lundi, 11 mai 2009

ah toutes les Marguerites sont volages ! (sauf Yourcenar of course ! bien trop lourdement lettrée pour s'envoler)

Écrit par : hozan kebo | lundi, 11 mai 2009

@hozan kebo : Et Marguerite Duras ? Elle est-ti volage ou pas volage ?
"Détruire dit-elle", "le camion", "la maladie de la mort", "la douleur".......

Écrit par : frasby | lundi, 11 mai 2009

mais cette Marguerite là savait "s'alléger" de diverses façons
je n'imagine pas MY picolant pour se donner des ailes !

Écrit par : hozan kebo | lundi, 11 mai 2009

@hozan kebo : Oui c'est vrai ! j'ai repensé à ça après.
jusqu'à 6 litrons de rouges par jour pour se donner des ailes, dans la période la plus volage bien sûr... pas comparable avec MY ;-)
Mais peut être que MY elle était très volage en secret, du genre eau qui dort pour la façade et en privé à lever ses cotillons en dansant sur les tables dans les tavernes, non ?

Écrit par : frasby | lundi, 11 mai 2009

ah ça diantrebleu ! j'aurais aimé voir ça ! Yourcenar en cotillons d'une part et les levant qui plus est sur une table de taverne flamande !
remarque lexicale : il y a dans l'expression "litrons de rouge" quelque chose de "dépréciatif" !!!! si l'on disait que MD buvait volontiers "quelques verres de vin" , cela ne "sonnerait " pas pareil , non ? (et reviendrait au même certes , mais ...)

Écrit par : hozan kebo | lundi, 11 mai 2009

@hozan kebo : Je pensais à une taverne bavaroise...
Parce que la taverne flamande je connais moins...
J'imagine qu'il y a une sacrée différence.
l'expression "litrons de rouge" pour DURAS est tout à fait volontaire ici (dans ce cas précis) car Duras faillit bien laisser sa vie dans cet excès de litrons, ce n'était pas je crois "quelques verres de vins bien festifs comme DEBORD le fît en son temps du côté de la montagne sainte Geneviève, ni les beuveries de Lino Ventura avec Gabin et ses copains autour d'un fumant coq au vin. ce n'était pas l'alcool sympathique du "vin de Paris", plutôt celui "d'au dessous d'un volcan"... je crois. Dépréciatif oui, dans le sens où Duras avec ses litrons n'était pas d'une grande volagerie, ni lovagerie. elle buvait pour écrire et mourir.
Si elle n'avait pas eu quelques amis pour la sortir de cette noyade, il a bien quelques livres qu'elle n'aurait pas écrit... A ce qu'on dit... (car je n'y étais pas ;-) et hélas, je crois tout ce que je lis...

Écrit par : frasby | lundi, 11 mai 2009

plutôt celui "d'au dessous d'un volcan".


ouaip ! the only true one ! (ça finit "mal" certes ! avec pour seule compagnie posthume celle d'un cadavre de chien jeté "en bas" ) (mais j'ai toujours adoré cette "fin" .... de roman , id est purement fictive) (mais heureusement qu'on a - quelques uns encore - quelques "fictions'" qui nous satisfont , n'est-il-pas ?) (le "n'est il pas" précédent consiste à "jouer" - it's a joke- le "rôle" d'un consul anglais )

Écrit par : hozan kebo | lundi, 11 mai 2009

@hozan kebo : Au dessous d'un volcan, j'ai adoré !(tant qu'on ne met pas de force dessous)
Tant qu'on reste dans la fiction bien sûr
Oui, oui, jouer j'avais bien compris bien sûr !
Cela dit (en hors sujet ou presque) ce blog n'est pas sponsorisé par les produits laitiers "Marguerite", ni par la ligue anti alcoolique", ni même par "vulcania" du volage Valery ("bonchouâââr!") Magie des volcans d'Auvergne, ça c'est de la "vraie" fiction ...

Écrit par : frasby | lundi, 11 mai 2009

"L'eau s'en foin", c'est très bien.
Le naf bluc de Lavitate vous codére de as xroic de la Gionlé d'Augnever, qui est l'iqualenvé du Roto d'or au Lason de l'Icragutrule. Et c'est ainsi qu'Alexandre est, etc... etc...

Écrit par : Naf bluc | lundi, 11 mai 2009

@naf bluc : Me pliât intifimnet de tomre sru le dangr dopium du naf bluc de Lavitate sètr perstigeuix, prou verecoir la xroic de la Gionlé D'Augnever , mno etomoin set dangre, ej vuso le foncie (foncidnece prou foncidnece) c'ste le supl baue rouj de am ive !
Je vêrais pedius joutours d'êrte cédorée (c'est doré, drapon !)pra d'énimentes serponnes et là je sius blomcée... cra le naf bluc de Lavitate ets encroe supl imtropant que le ortary bluc et que le roto de ro du lason de l'Icragutrule. Je m'anegouille humbelente prou vecevoir am répomcense, cremi ô vuso ô Miâtre !

Écrit par : frasby | lundi, 11 mai 2009

Cermi beaucoup Frasby pour ces extraits de Vialatte!!! Très!
Je ne les connaissais point même si la dilection d'Alexandre pour Jean ne m'était pas tout à fait inconnue...

A bientôt.

Écrit par : tanguy | jeudi, 14 mai 2009

@Tanguy : Je m'aperçois que je ne vous ai jamais pérondu, olars que ej sius joutrousr toncnete de vuso rile
alors que je péronds à tout le monde en lups !
Je suis une rustre ! une vraupesse !
Vuso voupez me tartreri de sosgre vécha ej ne vuso drouvreria sap !
lilme drapons à vuso !

Écrit par : frasby | mercredi, 01 juillet 2009

Prairial, foutra à tous des fourmis dans les pattes. Les plus casaniers auront des envies folles d'aller plumarder dans les prés et les garde-champêtre brailleront comme des pies borgnes en découvrant dans les grandes herbes la bête à deux dos, qui abondera bougrement ce mois-là.

Écrit par : émile pouget | mercredi, 01 juillet 2009

@Emile Pouget : Vos prévisions sont moelleuses. Du feu de Dieu elles sont. Pour un peu si j'avais les moyens, je vous embaucherai ici pour un horoscope mensuel (mais à l'ancienne) version de l'Almanach du père François
(Françouais ! vinzeu ! )
Le problème c'est qu'à Lyon y'a pas tant de prés que ça, mais on peut plumarder au parc de la tête d'or. Grignoter des brins d'herbes. Ou dans les graminées en regardant s'ouvrager les doryphores, ça nous donnera ptêt' des idées, ptêt ben que oui, ptêt ben que non. Vous savez comment y sont les lyonnais,y racontent pas mais avec cette chaleur, ils feront comme tout le monde, après 2 ou 3 St joseph, la petite crapette ça se refuse pas
Emile Pouget, vous êtes un Saint ;-)
Revenez quand vous voulez !

Écrit par : frasby | mercredi, 01 juillet 2009

Vous ne savez pas marquer les dimensions et le lieu ou est gardé ce tableau?!Non, vous ne savez pas?Bah mon vieux, c'est grave!

Écrit par : Pauline | mercredi, 21 octobre 2009

@Pauline : Non . Je ne sais pas ! mais si vous voulez je peux chercher
"Il faut chercher !" comme dit J.Luc Godard ah ! ah ! (au Diable Picasso !) donc,
Je vais chercher ...

Écrit par : Frasby | jeudi, 22 octobre 2009

Superbe article, je vous remercie pour ces astuces, et je "plussoie" moi aussi complètement ce point de vue... J'insiste, oui votre travail est vraiment excellent, je reviendrai régulièrement lire votre blog. PS : Je vais tenter de vous faire un peu de pub auprès de mes contacts, vous l'méritez !

Écrit par : Vincave | mardi, 20 avril 2010

@Vincave : Merci infiniment, pour vos appréciations...
dites moi, ça m'a l'air bien gourmand chez vous, le vin est d'une couleur qui invite et qui tente...
Revenez quand vous voulez !

Écrit par : frasby | mercredi, 21 avril 2010

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