samedi, 14 février 2009
Saint glinglins
MESSAGE PERSONNEL :
Valentin, je t'en supplie, si tu m'aimes, ne m'offre jamais ça !
Hideuses breloques comme chez les chics. Entre nous, il faut vraiment mépriser l'Amour pour oser vendre des choses pareilles...
Photo: vitrine (mal) léchée (vite fait bien fait), et coeurs en toc (mais pas donnés ;-) vus dans la vitrine d'un marchand de bonheur à Lyon, le 14 février 2009, jour de la St Machin...
00:50 Publié dans Affiches, panneaux, vitrines, Impromptus, Le nouveau Monde, Mémoire collective | Lien permanent
Commentaires
des marchands prétendent que le bonheur est une marchandise ? Ils ne cesseront donc jamais !
Écrit par : jl.charlot | samedi, 14 février 2009
d'accord avec vous/toi frasbyn plutôt mourir que porter un truc pareil ;-)
Écrit par : ficelle | dimanche, 15 février 2009
@jc charlot: Voulez vous que nous montions juste en face de ces incessants marchands de bonheur, des boutiques de malheur ?
Se serait peut être un équilibre nécessaire ?
Merci de votre visite
Écrit par : frasby | dimanche, 15 février 2009
@Ficelle: Oui, plutôt mourir (de mort lente ) car ce serait une atroce souffrance que d'être obligée de porter ça, pour " ne pas faire de la peine " au bien aimé ;-)
(quoiqu'un bien aimé qui offre ça, on l'aime moins ... Forcément, il y a comme un problème...
Enfin,Je vois que nous avons des goûts communs qui dépassent la pétanque, j'avoue que ça rassure ;-)
Écrit par : frasby | dimanche, 15 février 2009
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