mardi, 14 octobre 2008
Toyer m'a tuer (suite)
Souvenez vous, il y a un mois à peu près, cours Emile Zola à Villeurbanne, nous avions découvert un chant territorial, graff puissant, réalisé sur la façade d'un supermarché "Casino". Les recommandations semblaient claires et précises inscrites à la droite du mur la menace street urbaine ne rigolait pas "Tu toy t'es mort". Pour mieux comprendre ce billet, en apprécier la différence petit rappel des faits ICI . Nous avons retrouvé la petite bricole sur la gauche intouchée (et pour cause!), nous sachant filmés, nous avons un peu souri , mais l'amabilité fût de courte durée quand nous découvrîmes avec effroi que tout le puissant graff aux notes sans concession avait été abondamment "toyé". Un mois après presque jour pour jour... Comme tout s'est passé dans le dos de la petite caméra- bricole, notre enquête se poursuit... Il ne nous reste plus qu'à trouver qui a toyé ? Qui a tué ? Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai peut être un jour (un certain jour ;-) ...
Lu et approuvé par KL-Loth, le graff palimpseste peut se voir aussi en écho sur le blog DAILY LIFE
19:16 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu, Impromptus, Le nouveau Monde, ô les murs ! | Lien permanent
mercredi, 17 septembre 2008
Toyer tue
Vu cours Emile Zola à Villeurbanne, au dessus du supermarché Casino, un chant territorial, la menace de représailles à côté d'un graff immense et fort beau qui est ici malheureusement masqué par un panneau. Peut être qu'on vous montrera intégralement, ce graff, un jour (un certain jour) s'il survit au gang ennemi...
Je ne sais pas, si vous avez remarqué la ravissante bricole tout en bas sur la gauche... qui ressemble à une petite maison en métal, un joli nid urbain pour hirondelles ou autres oiseaux des villes du genre pigeons :
" Tu toyes le nid, et t'es mort, grave ! " CLICK
Autre regard ( version SM ) + éclairage sur la signification du "Tu toy, t'es mort " à visiter absolument sur le blog DAILY LIFE
21:41 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu, Le nouveau Monde, Mémoire collective, ô les murs ! | Lien permanent