lundi, 24 novembre 2008
Comme un lundi
Tentative de lapidation du dimanche :
Lundi: destruction des méditations !
L'observatoire d'Alceste aux prises avec les mondes hyperactifs... A la fin de la journée, l'offensive fût vaine, les pavés vinrent mourir au "pied" de l'habitant, marqués d'un vert indélébile mais incapables d'élévation... N'en déplaise à NEWTON, les pavés sont comme les pommes (bien que moins comestibles). Et les arbres, eux, ne meurent jamais.
Moralité pour l'avenir: Il ne faudrait peut-être pas se tromper de cible... EXEMPLE ICI .
20:58 Publié dans Art contemporain sauvage, Certains jours ..., De visu, Impromptus, Mémoire collective | Lien permanent
Commentaires
@ Frasby : J'ai bien aimé que vous ayez choisi un EXEMPLE ICI avec le mot danser dedans ; là, un peu à gauche des danseurs. Et les petites blocs cassés au pied de l'arbre ci-haut, ce sont les traces d'un danseur lourd peut-être. Nous sommes toujours dans le mouvement perpétuel alors ?
Écrit par : Marc | lundi, 24 novembre 2008
@Marc : Merci de bien aimer l'exemple (pas pour l'exemple ! il n'y a pas de morale dans tout ça) ... Les traces d'un danseur lourd ? ah ça y'est tout à fait , je le vois !!!
;-)
C'est vous qui poursuivez la danse, nous sommes toujours dans LE mouvement perpétuel , bien sûr ! quelle question !
Écrit par : frasby | lundi, 24 novembre 2008
Alceste sur la branche cirée étant hors champ, il ne pouvait qu'être content. Et sur la plus haute branche perché, tel un rossignol croix-roussien, il contemple les pavés que la haine dérisoire des hommes a abandonnés là. Un baiser d'escargots roux, un peu plus loin, sur le pare brise d'un engin métallique, achève de le réconforter. Alceste vous souhaite une très bonne nuit.
Écrit par : Alceste | lundi, 24 novembre 2008
@Alceste: Tant Que notre Ami Alceste reste tel un rossignol Croix-Roussien (et surtout pas"comme un moineau tombé du nid" ) nous serons contents aussi ....(enfin moi, je serai contente, ;-)) (cette manie de penser à la place des autres !
Merci de donner la permission de minuit à nos escargots roux, parce que je voulais vous dire ... Ils ne vont pas rentrer ce soir , je crois que c'est bien parti. Vous pouvez donc dormir tranquille et faire de beaux rêves forestiers, roux et charmants...
Merci de venir me souhaiter bonne nuit , c'est gentil .
Écrit par : frasby | lundi, 24 novembre 2008
C'est Alfred qui avait prévu ses munitions samedi mais il les a oublié trop préoccupé à aller récupérer Albert à la sortie de Picard Surgelés :)
Si le pied de l'arbre est entravé, c'est toute sa croissance qui s'en trouve touchée. On sait ce que ça donne à l'échelle humaine.
Écrit par : Léopold | mardi, 25 novembre 2008
@ Frasby : Je pensais bien sûr à « votre » mouvement perpétuel : celui de l'avant dernier billet. Je voulais dire que cette maxime m'a touché. Aussitôt pensé à l'Amérique du Sud, à Neruda. Et en regardant la photo de la manifestation ici je n'ai pu m'empêcher de ralentir le rythme, de lui superposer une musique nostalgique et voilà. Ils dansent eux aussi.
Écrit par : Marc | mardi, 25 novembre 2008
@Leopold: Evidemment , pour les lecteurs non avisés ça peut paraître ardu à suivre voire crypté , des feuilletons en mille feuilles dans tous les domaines mais je vous entends bien ! Vos considérations écologiques et humaines ne sont pas négligeables non plus... c'est appréciable à une époque où beaucoup de gens ne songent qu'à leurs petits intêrêts , c'est gentil de penser à l'interêt général . jE veux dire l'échelle humaine ! Merci.
Écrit par : frasby | mardi, 25 novembre 2008
@Marc : J'avais bien compris qu'il s'agissait de non pas "mon" mais de "notre" mouvement perpétuel ;-) enfin... celui de l'avant dernier billet ;-) ... Je n'avais pas pensé à L'amérique du sud (comme quoi vous poursuivez ici vos longs voyages, ce qui vraiment ne me déplaît pas ) et je suis ravie que la maxime vous ai touché ... Comme je le disais récemment à léopold, je connais hélas, très peu Neruda... Donc c'est bien que vous pensiez à lui (un peu à ma place) en attendant qu'on me le présente personnellement ;-) (il faut ça)
Nous ralentissons le tempo (fugit or not fugit ?) mais la musique ne s'arrête pas , enfin ... merci d'être fidèle à nos pistes de danses quelque peu improbables...
Écrit par : frasby | mardi, 25 novembre 2008
"N'en déplaise à Newton, les pavés sont comme les pommes"
Magnifique cet art de la formulation... J'en reste pantois...
Dieu merci, il n'a pas fait sa découverte de la sorte, sans quoi le fondement de la physique n'aurait été qu'un fait divers sans suite...
Bien bonne journée !
Écrit par : uhsn | mercredi, 26 novembre 2008
@uhsn : heureusement que mon blog n'est pas un blog scientifique car l'art de la formulation me ferait tomber des pommes sur la tête, ou des coups de canne des férus newtoniens ;-)
mais comme j'assume assez mon côté "sciences inexactes" j'espère que nos amis scientifiques s'en réfèreront au lien , quoiqu'ils savent déjà tout par coeur... ça me rappelle cette amie qui a toujours confondu Newton et Guillaume Tell , les Golden et les Granys ... Mais ce n'est pas du tout pareil ! il paraît !
J'aime assez l'idée qu'un fondement de la physique ne soit qu'un fait divers sans suite , vous devriez écrire quelquechose sur ce thème ... Je suis sûre que ça serait du petit lait.
J'aime bien aussi le mot "pantois "
"Pantois" vraiment ???? ;-)
Merci pour votre commentaire truculent et bonne journée itou (même si c'est plutôt la soirée, là où je suis :donc bonne soirée !)
Écrit par : frasby | mercredi, 26 novembre 2008
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