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mardi, 28 août 2012

On rentre à la maison

Si la maison vous déplaît, en un clic dans l'image tout peut se remplacer.

 

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About the obsolescence :

On ne va pas éternellement s'encombrer de rêvasseries. J'efface donc le trait d'irréalité  et ni vu ni connu le remplace, biffant du même coup la vacance, le courant de rentrée ne s'y prête pas.

A noter qu'il y a peut-être une certaine audace dans l'architecture aiguepersironne qui saura naître, demeurer, disparaître sans l'assentiment de notre regard.

C’est ainsi que, selon l’opinion, ces choses se sont formées et qu’elles sont maintenant et que plus tard elles cesseront, n’étant plus entretenues.

 

Eclairages : http://www.fabula.org/actualites/parmenide-le-poeme-fragm...

Repérages : merci à Paul et Raidi pour.

Photoon the Aigueperse's road, made in Nabirosina.

 

Aigueperse © Paul-Raidi pour-Frb 2012

Commentaires

Bonjour Frasby. J'adore vos "On rentre à la maison" !
Ces "étants" sur la route aiguepersironne et polissonne :)...

Naître, demeurer, disparaître...

Comme l'écrit Quignard quelque part dans La barque silencieuse (Dernier royaume, VI),
Tulipes, moustiques, éléphants, orages, éphémères, coccinelles, pâquerettes, baleines, montagnes, tempêtes apparaissent, s'élèvent, grandissent, répètent brusquement leurs formes, leurs corps, leurs sorts, disparaissent.
Les fleurs se dressent, éjaculent, tombent.
Pour les fleurs, la mort est appelée apoptose.
Il n'est question que de tomber.

Nos morts personnelles sont furtives quant à la date. A l'imprévisibilité s'ajoute l'irrévocable. Nos bouches ne répondent plus :)

Écrit par : Michèle | vendredi, 07 septembre 2012

@bonjour Michèle : merci pour les "on rentre à la maison" :
le trait d'irréalité (l'effacé donc :) était plus polisson à l'origine, (le saviez vous ?) = je publie ici, de temps en temps des billets éphèmères, qui durent moins de 8 H00 souvent le temps d'une nuit, je garde parfois l'image j'achève le 1er texte sans sauvegarde (sinon ce n'est pas achever:) avant l'ouverture des bureaux sauf si un promeneur noctambule a commenté alors il ya survie, (mais pas pour l'éternité :) ceci en guise d'introduction passons à l'essentiel:

Je reste éblouie par vos intuitions, vos choix de textes qui (paradoxalement) prolongent un thème qui trouvera tôt ou tard ses limites ou bien les a trouvées et par delà les facéties de la langue, ce qui tarde autour de la bar(a)que- ne vous aura pas échappé :) le choix de "La barque silencieuse" c'est paradoxalement la référence la plus inattendue mais idoine
"la barque silencieuse est revenue" :) disons qu'il y a vif surgissement au coeur d'un sujet programmé
"il ne s'agit que de tomber".
Comme la fleur qui ignore que le vent d'automne est aussi là
pour tuer ses amis. (sujet à jardiner :)

"Nos morts personnelles sont furtives quant à la date. A l'imprévisibilité s'ajoute l'irrévocable. Nos bouches ne répondent plus" :)
Voilà.

on peut jeter un ultime oeil sur "Le prestige de la mort" de Luc Moulet avant de rendre un dernier soupir, espoir de rédemption, ils repasseront nos vies sur télé-nostalgie :) entretemps vous aurez une marge pour réinstaller youtube, et j'aurai lu "la barque silencieuse" de P. Quignard le temps que vivent les roses, (au moins "ça" :)

Pour l'heure on se tient serrés, tenus en respect par l'apoptose, c'est une chance de vous connaître Michèle, on va de surprise en surprise et le bel entretien ne tue pas l'entretien :)

Écrit par : frasby | dimanche, 09 septembre 2012

J' oubliais de dire que j'adresse un grand bonjour à Paul ! apprécie chacun de ses retours :)

Écrit par : Michèle | vendredi, 07 septembre 2012

@Michèle : Merci, pour Paul, vous êtes adorable. Paul voyage en ce moment, sans nid faune ni machins, il ne pourra pas vous lire mais si je peux, je transmettrai, il va être content sinon Paul n'est jamais parti d'ici tout à fait, il va il vient il intervient, mais dans l'ombre, il préfère, c'est Paul, il est du genre d'Alceste :)
il n'a pas oublié votre accueil ah bin, ça pour sûr
que je le sais, (hé hé :) mais je vais pas parler à sa place...
juste à ma place = j'apprécie vos belles attentions...

Écrit par : frasby | dimanche, 09 septembre 2012

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