vendredi, 15 août 2008
Un court instant
12:33 Publié dans Balades, Ciels | Lien permanent
jeudi, 14 août 2008
Poison ardent
"Tout d'un coup, au retour du vestiaire, il les voit en conversation tendre, penchés l'un vers l'autre".
23:50 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
Buissons ardus
"Je suis pris dans cette contradiction: d'une part, je crois connaître l'autre mieux que quiconque et lui affirme triomphalement ("Moi, je te connais. Il n'y a que moi qui te connaisse bien!"); et, d'autrepart, je suis souvent saisi de cette évidence : l'autre est impénétrable, introuvable, intraitable; je ne puis l'ouvrir, remonter à son origine, défaire l'énigme. D'où vient il ? Qui est-il ? Je m'épuise, je ne le saurai jamais."
ROLAND BARTHES extr. "L'inconnaissable" - "Fragments d'un discours amoureux" - ( Editions du Seuil, 1977 ) CLICK CLICK
23:45 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
Doux de la feuille (Part II)
"Je suis celui qui va pleurer (...) et de me voir ainsi pleurer, je pleure de plus en plus".
12:28 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
la mûre, toujours
05:50 Publié dans Balades, Interieurs-tables de travail, Mémoire collective | Lien permanent
lundi, 28 juillet 2008
Toit brûlant
Le noyer a son lierre et son soleil , l'un s'attache, l'autre brûle, rien n'est donc si parfait ?
19:50 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
samedi, 26 juillet 2008
Notre lierre...
En ce jardin, on s'attache... Lierre entiché d'un noyer, vu le jour d'avant
(l'hier ?) ...
20:30 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
jeudi, 24 juillet 2008
Flower Power
Flower Power était une formule utilisée par les Hippies durant les seventies. Le symbole de la fleur représentait une idéologie non-violente. On attribue ce terme au poète américain Allen Ginsberg en 1965, depuis il a été utilisé à maintes reprises dans les chansons et autres choses faisant référence au mouvement Hippie ( y compris en informatique et plus tard on sur-utilisa le terme et les symboles du mouvement dans certaines publicités.) Le slogan "Flower Power" arriva après le "Flower child" (des personnes qui avaient pour habitude d'acheter des fleurs et de les distribuer aux inconnus)."Flower Power" est aussi une compilation contenant plusieurs hits symboliques de cette époque (même antérieurs à l'apogée de cette époque) tous très "love" dont le fameux "Daydream" des Lovin'Spoonful ou le "california dreamin" des Mama's and Papa's datant de 1966; seul album qui eût 3 pochettes, dont une jugée trop dégoûtante, à quatre dans la baignoire (tout habillés) pensez donc ! Pour le visuel correctement live (sans baignoire) en concert à Monterey c'est par ICI
Pour conclure , on ne fera pas comme certaines radios (innommables ;-) à vous fabriquer du souvenir artificiellement, à propos de périodes plus ou moins vécues... Et on ne vous alignera pas non plus dans le même sac, des yéyés, des cloclos, des Doors, et des Flowers Powers avec cols pelles à tarte, folklores, ou autres produits dérivés de la fleur rebelle. Il ne s'agit, ici que d'un langage (des fleurs)... Puis quand nous reviendrons en ville, bien assez tôt, nous vous offrirons quelques graffs, pour réhabiter notre temps, puis deux ou trois samples à boucler indéfiniment à travers siècles. La nostalgie n'est plus ce qu'elle était... A force de nous en matraquer les oreilles, de recalibrer les accès des utopies qui tenaient en haleine quelques âmes sincèrement libertines et libertaires, de nous convier à régresser sans cesse, à force d'adapter pour l'assurance auto, la voiture cool, ou la banque "jeune § sympa" les plus belles songs d'une époque qui rêvait pourtant d'exploser le système marchand ...(pour récente mémoire: revoir l'affreux plaquage du"Happy together" pour la pub d'un véhicule très confortable ;-)ou le détestable décor hight tech banquier du "Imagine" de Lennon)... A force donc, nous finirons bien par être totalement dégoûtés des héritages doux laissés par ce puissant passé. A moins de relire Kerouac, Ginsberg, etc... de redécouvrir Thoreau, Yeats, par nous mêmes... A moins de repartir nous mêmes sur des chemins pas encore tracés...En attendant,la gueule de bois de la rentrée (celle du présent cette fois) cueillons cueillons les fleurs de juillet. L'été s'annonce très sage ...
20:06 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
Be bee or not bee
Les abeilles sont au jardin. A venir le fameux "miel de bleuet ", on vous en donnera des nouvelles ;-))
18:30 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
mardi, 24 juin 2008
Partir
21:25 Publié dans Balades | Lien permanent
Partir,rester ?
"Le dessein en est pris,je pars,cher Théramène,
Et quitte le séjour de l'aimable Trézène.
Dans le doute mortel où je suis agité,
Je commence à rougir de mon oisiveté..."
Premières phrases prononcées par Hippolyte dans "Phèdre" Acte I -Scène 1 / Jean Racine (1639-1699).
20:54 Publié dans Balades, De visu, Mémoire collective | Lien permanent