mardi, 20 juillet 2010
Procrastination
Chaque homme trouve au fond de ses réveils tous les désordres du temps, réduits à la médiocre échelle d'une inquiétude privée.
Si vous voulez voir la mer, vous pouvez cliquer sur l'image.
Si peu de choses me retiennent. Je pourrais tout quitter... Demain.
SONGS:OHIA /"Body burned away"
Photo : Le désespoir est assis sur un banc et il ne s'appelle pas Bébert (ou bien est il debout derrière le banc ?). Tout un été à procrastiner face au kiosque à fleurs, sans une fleur à se mettre sous la dent. La vacance dans toute sa splendeur, photographiée place Liautey ou Morand à Lyon au début de l'été 2010.© Frb.
03:11 Publié dans Balades, De visu, Impromptus, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent