mardi, 15 décembre 2015
Ce qu'il reste
mardi, 21 juillet 2009
Nabirosina.
"Un point où le réel et l'imaginaire deviendraient indiscernables..."
Au commencement était... le Nabirosina.
Sengs et Lufers parlaient le même langage. L'humus (1) délivrait patiemment, l'azote, le phosphore et tous les éléments. Puis vint un jour l'inévitable...
Ainsi naquirent, les brésars.
Nota: Le mot latin "humus" désignant "la terre", est cité par Curtius (1er siècle ap. J.C.) comme provenant d'un mot grec signifiant "à terre". (locatif d'un substantif hors d'usage). En réalité, le mot latin "humus", comme d'ailleurs le mot "homo" = "homme" », provient de la racine indo-européenne *ghyom- qui signifiait "terre" (cf. J. Picoche 1994, p. 287).
Photo: Esquisse du Nabirosina originel. Vu au plus près, en juillet 2009 (avant J.C.). © Frb
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mardi, 23 septembre 2008
Automnale
"Pareille à la feuille morte" tombée presque entre les doigts de celui qui me fit naître. Je retourne auprès de mon arbre dans cette ville vouée aux trous, espérant qu'une pluie d'automne m'emporte au loin"...
Portrait, (autoportrait ?) à Villeurbanne, près du dernier arbre de mon quartier entre des maisons grises frappées de servitude et des résidences rose-bonbon aux noms trouvés chez Homère, qui hélas, ne remplaçeront pas les mémoires des lieux, dont peu à peu nous nous trouvons privés...
06:05 Publié dans Balades, De visu, Impromptus, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
samedi, 26 juillet 2008
Notre lierre...
En ce jardin, on s'attache... Lierre entiché d'un noyer, vu le jour d'avant
(l'hier ?) ...
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