dimanche, 12 avril 2009
Comme un dimanche (d'opaques)
Une belle apparition immobile et dorée, semble pourtant flotter dans l'un des deux bassins disposés en miroir, de la belle esplanade, place Lazare Goujon située entre l'hotel de ville et le TNP. Non loin du "jardin vertical" (avec ses pergolas agrémentées de plantes grimpantes, que l'on peut voir, en passant, de la rue Verlaine, on vous les montrera un jour, c'est presque une promesse). Vue à Villeurbanne. Comme un dimanche d'opâques (et d'Amour ?). Avril 2009. © Frb.
22:24 Publié dans Art contemporain sauvage, Arts visuels, Certains jours ..., Chiffres/ Lettres/ Mots, De visu, Mémoire collective | Lien permanent
Commentaires
"presque une promesse", ah ah c'est rassurant, surtout le "presque" en fait...
J'avais lu du charmillon: "pparition" avais-je la burele?
Écrit par : tanguy | dimanche, 12 avril 2009
@tanguy: Non vous n'aviez pas la burele; c'est qu'après une semaine d'intensif charmillon, je me suis mise à penser en charmillon, donc à écrire en charmillon comme si ma seule langue apprise était le charmillon, deux jours sur la conille n'ont pas suffi à me désintoxiter, il va falloir que j'y retourne.
Oui, la "presque-promesse" est une malhonnêteté de moins ou une de plus mais vaguement... par rapport à l'incurable craspotiniatone ou inssaisablie fiute du pemts...
Écrit par : frasby | dimanche, 12 avril 2009
ah la tuife du spemt!!!
A enittob Brasyf!
Écrit par : tanguy | lundi, 13 avril 2009
@Tanguy : Vous êtes incorrigible en faon (terrible !)
Vous pra re rtez encore ? Impossible de vous localiser sur guougoeilles mapeuz...
Écrit par : Frasby | lundi, 13 avril 2009
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