lundi, 17 novembre 2008
Comme un lundi
Il est des jours où tout est à sa place.
Photo: Boulevard de la Croix-Rousse. Ce lundi de novembre 2008 ©.
22:24 Publié dans Certains jours ..., De visu, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
Commentaires
Bien vu et bien cadré. Drôle.
Écrit par : gballand | mardi, 18 novembre 2008
J'aime bien aussi la petite flèche qui indique vers où regarder.
Promotion Boudin Noir ou Blanc (attention aux majuscules!). Cela me fait penser au Paysan à Paris d'Aragon, il y a des pancartes balancées dans la narration, c'est assez génial!
Dis-donc ce boulevard de la Croix-Rousse regorge d'éléments intéressants!
Écrit par : Léopold | mardi, 18 novembre 2008
@ Léopold : Ah, sur ce boulevard dont Frasby est souvent venu solliciter la grise lumière afin de mieux traquer le roux, Alceste a fait, ça et là, de douces et longues rêveries ! Bien, sûr, bien sûr qu'il regorge d'éléments intéressants ! Indicibles, également ! Et ils ne sont pas les seuls à le dire !
Écrit par : solko | mardi, 18 novembre 2008
Bravo !
Écrit par : gazelle | mardi, 18 novembre 2008
@gballand: Oui , un de ces petits hasards que j'aime assez;-) , il suffit d'être là quoi ! pas grand mérite .
Merci d'apprécier.
Écrit par : frasby | mardi, 18 novembre 2008
@Leopold :Ce boulevard de la Croix-Rousse est un poème. L'ami Alceste en sait plus long que moi sur le sujet...
Un aveu , au delà de la bonne blague, j'aime SURTOUT la petite flêche qui nous met presque dans la feuille ;-) comme dans la poche . J'apprécie bien aussi votre référence au "paysan de Paris"
donc voilà ;-) merci pour l'interprétation léopoldienne...
Écrit par : frasby | mardi, 18 novembre 2008
@Gazelle : Merci !
Écrit par : frasby | mardi, 18 novembre 2008
@Solko: je pense que vous pourriez bien m'en apprendre sur ce lieu historique qui devient très vite "affectif" si on le fréquente assidûment.
Disons que la Croix-Rousse malgré sa boboïsation a de très beaux restes ( pas de carré VIP pour les rêveurs tout y est un peu partout rêverie pour peu qu'on ralentisse, n'est ce pas?
Écrit par : frasby | mardi, 18 novembre 2008
quelle fameuse adéquation!
Écrit par : marine | mardi, 18 novembre 2008
@marine : ça vous plaît ?
:-) merci de votre visite .
Écrit par : frasby | mardi, 18 novembre 2008
Quand, assis sur un banc,
On n'y regarde longtemps, là-haut, que les arbres
Et les fenêtres aux yeux écarquillés,
Et là-bas que les roux et les pieds des passants,
- Mais surtout jamais, jamais
Modernes enseignes et vivants visages -
Il arrive qu'on entende battre le son des métiers,
Et la ferveur des révoltes.
Écrit par : alceste | mercredi, 19 novembre 2008
J'adore !
Écrit par : LBA | mercredi, 19 novembre 2008
@Alceste : Beau regard de l'habitant contemplant sa colline ...
Le son des métiers est plus beaux que les nouveaux lampadaires (rochebobo) de la place du gros caillou (une dissonnance ?)
J'aime beaucoup votre oeil balladeur à la mémoire reconnaissante) . Merci.
Écrit par : frasby | jeudi, 20 novembre 2008
@LBA : Quel enthousiasme ! merci !
Écrit par : frasby | jeudi, 20 novembre 2008
des jours comme ça ou l'on prendrait bien les deux finalement
les deux ?
enfin
oui
TOUT !
Écrit par : isdid | jeudi, 20 novembre 2008
@Isdid : ça dépend desquels tu parles ;-))
mais oui, les deux , les quatres , on prend tout et on invite !
Écrit par : frasby | jeudi, 20 novembre 2008
Les commentaires sont fermés.