Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 11 octobre 2009

Souviens toi, barbe à papa...

Il pleuvait sur Lyon ce jour là.

souviens toi, barbapapa.JPG

Encore un tour à la vogue sous un ciel moins clément mais dans les senteurs folles des sucres parfumés, près du nuage rose, improbable cocon, sur une autre ancienne route de la soie, celle ci comestible, un pastel odorant remué par une dame aux belles mains ouvragées ; ( on apprécie autant la "petite cuisine" que "barbe à papa mobile"). Ces brassées franches osent l'excès des petites folies de l'enfance, travaillent la réminiscence au corps même des passants plus âgés, et de ces petits vieux, superbes, insolents de santé qui vont à l'onctuosité, comme jadis à la kermesse. Un souvenir de demoiselles en robes Vichy, paletots à cols froufroutés, celles à qui l'on offrait des chouchous et cette friandise fameuse sur la place promise, une générosité qui souvent se troquait en  baisers...

Pour ma part, je trouve la barbe à papa, plus jolie à regarder qu'à manger, un peu comme la meringue, écoeurante et fade au palais (mais tous les goûts étant dans la nature), je laisse le lecteur ("barbe à papaphage"), envier l'aubaine des cruci-roux qui chaque jour, partant et revenant de leur travail peuvent se coller la bouche (et les doigts, et la tête...) dans l'opulence trompeuse de ce fil à fil adoré. Pour le plaisir des mots, rappelons au lecteur, reluqueur de friandises, quelques autres péchés mignons du même genre : Berlingots, calissons, fraises tagada, carambars, niniches de Quiberon, bêtises de cambrai, nougats, rigolette, pommes d'amour... Bien de quoi se consoler par ces temps quelque peu acides.

Lien gourmand pour les incorrigibles  :http://www.euro-info-tourisme.com/France/barbeapapa.html

Photo : Rien n'est plus beau que "les mains de la dame dans la barbe à papa" encore plus fascinantes que "les mains d'une femme dans la farine" glorifiées par Claude Nougaro. Vu, Boulevard de la Croix-Rousse en plein coeur de la vogue (aux marrons), entre Jutard et Chanteclerc. Lyon Octobre 2009. © Frb.

Commentaires

Oh, on en mangerait !!!

Écrit par : Zabou | mercredi, 21 octobre 2009

@Zabou : Je vous en prie, ne vous gênez pas. Faites vous plaisir !

Écrit par : frasby | mercredi, 21 octobre 2009

Nous aussi nous aurons bientôt nos "nuages roses" (joli) à Rouen avec la foire St Romain.
Chez vous, la nostalgie frappe à la porte de la poésie...

Écrit par : gballand | mercredi, 21 octobre 2009

Je n'en ai jamais mangé.

J'ai des cousins du côté de ma mère, qui sont de Villeurbanne et qui sont artisans forains. Ils font toutes les vogues ou foires. Je vais les voir quand ils viennent sur Grenoble. (Ce sont les petits-enfants qui le sont maintenant. ) Ils habitent St Bonnet de Mure maintenant.

Bonne journée.

Écrit par : patriarch | mercredi, 21 octobre 2009

A bordeaux, elle s'appelle la foire aux plaisirs…
(vous oubliez dans la liste la fameuse pomme d'amour, en hommage à Eve peut-être…)
Barbe à papa, j'adore ! Même si c'est vrai, fade et collant, une sorte de chamallow géant…

Écrit par : ficelle | mercredi, 21 octobre 2009

Merci de parler de moi. Bonne journée!

Écrit par : Barbapapa Streisand | mercredi, 21 octobre 2009

Je vais sans doute un peu casser l'ambiance mais ce billet a ravivé un souvenir de "barbe à papa" et de chien en peluche que mon petit frère avait gagné à la pêche aux canards dans une foire... Moi, j'avais échoué misérablement, impressionné par l'enjeu : un petit chien en peluche rose et blanc que je voulais presque avec frénésie. Mais non, maladresse et tout le reste, plof ! à l'eau le chien en peluche. Mon petit frère, lui, plus calme, sans doute aussi plus habile, a vite réuni les points nécessaires à l'acquisition du chien en peluche. Dès qu'il l'a reçu, il l'a serré contre lui. J'étais jaloux, bien entendu, et vert de mauvaise envie. Pour me consoler, on m'a acheté de la barbe à papa. Et comme mon petit frère aimait la barbe à papa, on lui en acheté aussi, ce que je trouvais injuste, vu qu'il avait déjà le chien en peluche. Je me débrouillais tant bien que mal avec cette barbe à papa quand mon petit frère, sans rien dire, m'a tendu le chien en peluche. Je ne voulais pas l'accepter mais il a insisté, mes parents ont insisté, et j'ai fini par le prendre et je l'ai serré toute la soirée contre moi. Puis j'ai dormi avec le chien posé près de mon coussin. Je l'ai encore. Il est un peu bouffé aux mites. Mais je le regarde de temps en temps. Mon petit frère, lui, il y a belle lurette qu'il est mort d'une leucémie.
Ceci dit, j'espère qu'il fera beau quand je serai à Saint-Etienne.

Écrit par : mon chien aussi | mercredi, 21 octobre 2009

@patriarch : Il n’est jamais trop tard ... Patriarch.
Quoiqu’il n’y ait pas grand chose à manger dans la barbe à papa. Je vous orienterai plutôt sur la pomme d’amour ;-). Dites moi, comme le monde est tout petit;si ça se trouve vos cousins, je les ai déjà croisés sans le savoir à Villeurbanne et peut être même qu’ils sont à la vogue sur notre colline en train de remuer les couleurs d’un stand ? S’ils les font toutes les foires ! ... Enfin les petits enfants (J’ai pas compris toute la fin de l’histoire, mais St Bonnet de mûre, ça, c’est un nom de bien chez nous) . Il existe aussi St Bonnet les Bruyères (une version très campagne, je vous montrerai ça un certain jour (très joli patelin)
Merci, bonne journée à vous...

Écrit par : frasby | jeudi, 22 octobre 2009

@mon chien aussi : Oh non, vous ne cassez pas du tout l’ambiance vous savez. Votre récit est touchant, très bien raconté . Certes, Il finit tristement.
Mais quel beau geste que celui de votre frère... Ces choses là perdurent longtemps, j’imagine.
J’ai une tendresse véritable pour les gens qui gardent leurs peluches, même bouffées par les mites même sur un vieux coussin et je trouve complètement crétins les gens qui, à l’âge adulte jettent leurs vieilles peluches sous prétexte que ce n’est plus de leur âge. une peluche même un peu éventrée, même à l’oeil en bouton de culotte recousu (comme mon pitou ;-) est souvent gardienne de secrets ou d'histoires rétrospectivement merveilleuses...
Comme quoi une toute petite histoire de vogue et de barbe à papa ça peut emmener très loin...
Votre petit nom semble en dire encore sur cette peluche (mais je ne vous pose pas la question ;-)
Personnellement vous m'avez retournée.
Merci infiniment. A vous, à votre frère. aussi..

Écrit par : frasby | jeudi, 22 octobre 2009

@Barbapapa Streisand : Non, non, de rien , c'est bien normal, entre barbapapas il faut se serrer les coudes !

Écrit par : Barbapapa Cartland | jeudi, 22 octobre 2009

@ficelle : La foire aux plaisirs !
Eh bien ! on ne se prive de rien à Bordeaux !

Oulalala shame on me ! j'ai oublié la pomme d'Amour !
Il va falloir rectifier cela au plus vite !
En hommage à EVE ! cette vicieuse !
et délicieuse gourmande ... hum hum ;-)

Mille pardons doncques pour la pomme d'Amour... Et bonne foire avec les plaisirs les plusses bons ;-)

Écrit par : Frasby | jeudi, 22 octobre 2009

@gballand : j'espère que de cette foire de St romain , vous nous sublimerez ces quelques nuages roses en les trempant
dans un de vos fameux encriers ???
Vraiment j'espère...
ps:
Oui, la nostalgie à la porte de la poésie, merci c'est gentil !
(c'est à dire que dépassée par les puissants manèges de science fiction, et les tands de tuning auto, je cherche refuge dans le sucré (nostalgie frappant à la porte de la névrose ? ;-O )

Écrit par : Frasby | jeudi, 22 octobre 2009

Vos cruci-roux m'ont tellement fait plaisir, chère Frasby, que, du coup, je me suis tapé tous les liens bonbons.

Écrit par : Chr. Borhen | jeudi, 22 octobre 2009

Ah lala ! si vous connaissiez Le paradis gourmand à Toulouse...

Écrit par : Anna de Sandre | jeudi, 22 octobre 2009

La respirer ne coûte rien, la brume rose de la vogue aux marrons; quelques mailles d'odeurs sucrées contre la bise, autour de Jacquard le froid vif gagne. Les machines à sous gagnent aussi du terrain avec leurs pinces qui lâchent désespérément la peluche convoitée. Perdu!
Restent les gaufres, les cris des hauteurs, le geste appliqué de l'enfant au volant ou à la canne à pêche.
La chenille se cache au bout du tunnel.

Écrit par : Lola | jeudi, 22 octobre 2009

Ma fille n'aime que la barbe ... à son papa , parfumée à "Jaïpur" (qui fut peut être sur la route de la soie ?)

Écrit par : hozan kebo | jeudi, 22 octobre 2009

J'abonde sans réserve dans votre sens ! L'idée même de barbapapa est succulente, "délicieusement évanescente" comme dirait l'autre (en l'occurrence l'autre n'est autre que moi-même, dans un texte hélas oublié de nos contemporains ingrats).
Meilleure, bien meilleure pour l'esprit que pour les papilles assujetties par le sucre et le sucre seul !
Et sous la pluie, c'est encore mieux. L'idée de pluie et l'idée de barbapapa s'accordent si bien qu'il ne m'étonnerait guère qu'elles consomment leur union d'ici peu !

Écrit par : liam | jeudi, 22 octobre 2009

@Chr Bohren : Vous me faites drôlement plaisir, à votre tour !
Mais va falloir revenir, j'ai oublié la pomme d'amour !!!
Et la pomme d'Amour c'est pour ainsi dire la cerise (sur le calisson).
Si vous y allez comme ça, à cliquer dans la friandise, je ferai une petite foirefouille (aux sucreries) dans les confiseries cruci-rousses, juste pour vous, au moins un jour vous faire goûter nos prodigieux coussins de Lyon.
Vous connaissez peut être ? en ballotins (dit la marchande)
Pâte d'amande, chocolat fourré, enrobage emeraude, moelleux, fondant, (crucifondants !) hummmm !
(Retenez moi ! Chrisbohr ;-))

Écrit par : Frasby | vendredi, 23 octobre 2009

@Anna de Sandre : Paradis gourmand !!! (Deux mots heureux qui, comme la pluie et la barbe à papa...)

Mais non je connais pas ! Ah mais il faudrait que me paye le voyage !
à vous lire, il me semble n'avoir pas vécu ;-))

Dites moi euh... Est ce à cause (ou par la grâce) du "Paradis gourmand" que Toulouse est appelée "Ville rose ?"

Écrit par : Frasby | vendredi, 23 octobre 2009

@Hozan Kebo : Votre fille est sûrement plus voluptueusement (en sûreté, (?) euh... non ! draponnez moi, "en sûreté" ça va pas, en... euh... état de grâce, ( voilà ! c'est mieux état de grâce, non ?) près de la barbe à son papa que dans les livres de Crikergarde. Moi qui n'ait connu qu'une barbe à mon papa de trois jours ! ce qui est déjà pas mal, je me dis qu'il y en a qui sont nées avec une petite cuillère sucrée dans la bouche c'est quand même chouette un papa babar !
Et en plus une barbe à son papa qui ne se mouche pas du coude , parfumée au Jaïpur, carrément !
De la prestigieuse maison Boucheron ! n'est ce pas ?
Et quand je pense aux milliers de dames (du courrier de certains jours) qui vont lire ça !!!
Mais c'est pire qu'une montagne de friandises ! Hozan ! vite ! retenez ces dames sinon il n'en restera plus pour votre fille
Une barbapapa au Jaïpur, ah lala ! on touche au sublime !!!

Écrit par : Frasby | vendredi, 23 octobre 2009

@Liam : A l'époque de l'hypertrophie des "moi je", et des "écoutez moi", de ces littérateurs ingrats prétendus "de prestige"; qu'une personne (pourtant exquise) puisse se citer elle-même sous cette appellation très swing de "l'autre" je trouve ça au final assez requinquant ;-)
Vous me direz, une question de style ;-), ah mille fois oui!
Quoi que j'aime aussi la prestigieuse enseigne de "Maison Haouêt" dont la fibre de commentaire, pure soie pure laine drapée dans son petit ballotin malin fait le bonheur des petits et des grands. "Délicieusement évanescente" oui, nous y sommes. C'est exactement ça (comme dirait le Bouddha). D'ailleurs la barbe à papa c'est du bouddhisme à papilles, vous ne trouvez pas ? Une idée de l'impermanence. De l'évaporescence (ça se dit ?) des vrilles de l'humanité (admirez le lyrisme !)... Cette façon d'aller au palais sans pour autant s'y imposer trop en substances. Un oubli de la subsistance. Du tout qui se dévore des yeux, au presque rien quasi anesthésique du sucre et sucre seul, mais je m'égare...
J'adore votre idée d'union prochaine de la pluie et d'une barbe à papa. Seriez vous disponible au jour béni de ce mariage pour faire le témoin?. ( je vous verrai bien élégant au bras de dame pluie ou de sire barbe à papa) tandis qu'irai derrière le cortège tenir la traîne (de la pluie ou de la barbe à papa) avec des cornets de dragées (plaisir d'offrir, joie de recevoir !). Votre date sera la mienne, j'attends impatiemment votre confirmation...

Écrit par : Frasby | vendredi, 23 octobre 2009

@Lola : Merci pour cette très fine observation d'une vogue in situ. Ce n'est plus un commentaire stricto sensu mais autant de petits polaroïds. La vogue ! tout un roman.
La respirer ne coûte rien, c'est vrai ! pourtant ces odeurs sont inestimables. les machines à sous gagnent, c'est vrai aussi, autour de l'auguste Jacquard que rien n'afflige plus. (Lui à qui, peut être on ne peut plus rien apprendre en matière de machines...). J'aime beaucoup le geste appliqué de l'enfant. Au volant oui. Et dans la soucoupe volante, sur le siège à Dingo on dirait même qu il joue sa vie ;-)
Pas loin , préliminaires des grands enfants sur les tamponneuses. Un jeune homme, la main sur la cuisse de sa passagère (et bang ! bang !) .
Un vrai regret, merci aussi, de nous la signaler, cette chenille ! presque au bout du tunnel... N'est elle pas un peu trop cachée ? D'ailleurs je me demande (si cachée que je ne l'ai pas encore vue) si c'est encore cette fameuse chenille ancienne dite papillon, qui se tenait encore il y a quelques années du côté du caillou ? Le savez vous ? ....

Écrit par : Frasby | vendredi, 23 octobre 2009

Le comité de vigilance de la Halde vous fait connaitre qu' un mouvement revendicatif exprimé par les femmes à barbe, souhaiterait que l'on fasse également mention dans cet article de la possibilité de consommer de la barbamama. Elle vous engage fortement à modifier votre article en proportion du nombre de femmes à barbes, sans quoi elle utilsera tous les ressorts légaux en son pouvoir, pour vous faire ravaler cette barbapapa. Il en va de la visibilité de cette minorité barbue,qui souhaiterait porter la barbe comme bon lui senble et eventuellement se la faire manger, sans que cela porte à conséquence, car comme vous l'avez vous-même si bien souligné, tout les goûts sont dans la nature. En vous priant de bien vouloir rectifier.

Écrit par : Nuage | vendredi, 23 octobre 2009

tout ce qui est "à papa" me hérisse le poil en ce moment mais pourquoi?

Écrit par : catherine L | samedi, 24 octobre 2009

Catherine L: Oui ça je comprends ;-)))
Oh mais vous me donnez une idée, et si on la présentait à la présidence ? notre barbe à papa à nous . En 2012 ?
Ca n'herisserait pas plus qu'un autre.
"La rupture onctueuse"...

Écrit par : Frasby | mardi, 27 octobre 2009

@nuage : Connaissant la force de frappe du comité de vigilance de la Halde et la puissance des redoutables femmes à barbe (à côtés desquelles les chiennes de garde font figure de petites filles modèles (pardon mesdames, mais là où femme à barbe passe l'herbe ne repousse pas)
je m'engage à modifier (si j'y pense ;-) mon article afin que la barbe à mama puisse vivre à égalité aux côtés de la barbe à papa sans avoir à subir cette domination virile de la friandise qui a déjà fait bien du mal dans les esprits asservis par cette majorité écrasante qui veut mondialiser le papa à barbe tandis que la mama à barbe fait la vaisselle en silence (y'en a marre ! marre marre !) Il est temps que la barbe à mama ouvre sa gueule ! Quant à la domination machiste de la friandise ,je note entre autre l'impérialisme du malabar, la tyrannie du carambar, le totalitarisme du chamalow, la dictature du yop ! la violence que chaque jour la femme à barbe subit face à ces tyrans du palais, c'est ASSEZ ! (je ne parle pas de l'imposant nougat, qui écrase (avec ses grosses noisettes) depuis des millénaires la belle et tendre nougatine, qui s'en soucie ?) ça suffit ! ASSEZ ! vous avez raison ! BASTA ! y'en a marre !
"La femme à barbe est l'avenir de l'homme" avait écrit en son temps le poète Louis Barbagon, il est temps (y'en a vraiment marre !) que la barba à mama devienne ENFIN l'avenir de la barba papa d'autant qu'il n'est pas de plus bel avenir pour la femme à barbe que de se la faire manger quand bon lui semble à l'endroit qui est le sien ! Non mais !
Je vais rectifier de ce pas. Avec une armée de femmes à barbes. Ah ! ah ! faites moi confiance ! ça va barber !

http://justin.peticou.free.fr/b2evolution/blogs/media/femme%20a%20barbe.jpg

Écrit par : Frasby | mardi, 27 octobre 2009

ahahah
quelle rigolade ! et si ce n'est pas contradictoire, j'ose ajouter quelle barbe !
jene sais plus où j'avais déjà vu la belle Berthe, qui s'appelait en réalité Barbara et qui etait née à Barbizon, mais l'officiel d'état civil qui etait un horrible macho a jugé que c'en etait trop et qui a transformé Barbara de Barbizon en Berthe de Bourth ! n'importe quoi !

Écrit par : Nuage qui s'etouffe de rire | mardi, 27 octobre 2009

@Nuage qui s'étouffe de rire (dans sa barbe ?)
Ah oui vraiment quelle contradiction !
Ces militantes vivent vraiment à côté de la barbe !
Mais en tant que Barbara (et non en tant que Berthe) j'aimerais qu'on puisse considérer aussi au même titre que la barbe.
L'existence de la barbiche. j'aimerai que la barbiche à papa ou la barbiche à mama, puissent avoir autant de droits que la barbe à papa ou mama, c'est tout de même scandaleux que la barbiche soit dans une époque aussi évoluée (?) que la notre, condamnée à un rôle de petite main (si j'ose dire !)
Non, y'en a marre !
La barbiche a son mot à dire, tout autant que la barbichette.
Nous y reviendrons. Pour l'instant,
Je tiens bien solidement la votre ! surtout ne riez pas !

Écrit par : Barbara de Barbizon | mardi, 27 octobre 2009

La vogue aux marrons
le grand bonheur de ma petite-fille mais grande irritation de mes amis qui habitent le quartier.
le bonheur des uns ne fait pas forcément celui des autres.

Écrit par : Rosa | mardi, 27 octobre 2009

@Rosa : Et oui ! La vogue aux marrons a sa face cachée. Comme toutes festivités. Dans les appartements qui sont juste en face des manèges technos ça doit être l'enfer, un vrai tape-nerfs.
En même temps quand on voit les petits filles et les petits garçons à croupetons sur les manèges avec des sucreries plein la bouche, on se dit qu'on ne peut pas supprimer la vogue ?
Ni les enfants ? ni les gens qui vivent à Croix-Rousse.
Hormis une vogue silencieuse, je ne vois pas aucune solution qui puisse satisfaire tout le monde.
pourtant le sujet des nuisances sonores est un de mes grands dadas si j'ose dire... Merci de votre "passage" (de) Rosa !

Écrit par : Frasby | mercredi, 28 octobre 2009

j'aime sa disparition en bouche avec un petit pétillement.
B.

Écrit par : passantepensante | mercredi, 28 octobre 2009

@Passantepensante :C'est bien vrai ça ! on oublie toujours le petit pétillement...
Il faut dire que ça colle tellement ! peut être que ça occulte le plus subtil ?
Merci pour cette petite note, qui monte gentiment aux papilles...

Écrit par : Frasby | mercredi, 28 octobre 2009

Les commentaires sont fermés.