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lundi, 02 avril 2012

"A l'Hyper" by Hozan Kebo

"Le hasard n'est que la mesure de notre ignorance" (H.POINCARE)

A Sonia :

elle est.jpg

 

Un prologue, avant d'ouvrir cette page à l'invité du jour, il n'est pas inconnu des lecteurs qui font leur petit tour par ici, (j'allais écrire leurs "emplettes", mais non, tout est gratis ici et j'espère pour longtemps, je maintiens "le petit tour") au delà de la sacro-sainte brosse à reluire, (que Roger le siamois me pardonne) je ne cacherai pas que j'ai toujours grand plaisir à accueillir ici son frère Hozan Kebo  fort en thèmes sur nos pages, cette fois-ci la coïncidence ajoutant son grain, là où n'étions pas, nous nous sommes étonnés nous-mêmes (eh oui ! soyons replets et restons naturels, ce sont des choses qui arrivent, mais rares, je cite Henri Michaux "Jubilation à l'infini de la disparition des disparités"). Et l'on s'étonnera de ces rencontres que nous ne pourrions jamais deviner à l'avance. Nous voilà dépassés, par le z'hasard et les coïncidences  via nos virées persos en zhypers et finalement assez contents de contempler notre Sonia revenue du néant pour aller rouler du nid d'Hozan K. jusque dans le mien son petit corps de métier entre nos pleins et nos déliés. Et par dessus le l'hypermarché pendant que nous avions le dos tourné, le sou d'osier de la  coquine pouaêsie récupéra la petite affaire pour livrer notre Sonia en tirant des rubans virtuels de ceci à cela, via le pohème que vous découvrirez, à la fin, aimablement offert par l'artiste ayant longtemps cherché sa Sonia perdue, puis retrouvée, tandis que je donnais ses premiers bains de foule à la mienne (de Sonia)... Mais comme je ne suis pas sûre d'être assez claire, je vous joins un extrait d'une correspondance récente, non, ce n'est pas celle de Raymond Guérin mais il s'agit des fameuses "lettres secrètes de HK/RL à /Frb enfin révélées au public", c'est une doublette voire une triplette qui marche à l'envers sur les fleuves avec Sonia, patinant merveilleusement entre les archives, pendant que nous dormons. D'ailleurs qui sait si chacun d'entre vous  n'a pas une Sonia cachée dans son placard à balai ? S'il l'a achetée au Niquéa ou au fauquonrama y'a de fortes chances que la Sonia y'ait pondu des oeufs, et je vous conseille de passer vos maisons au peigne fin, car Sonia est partout. Fino ed dresoginsi !

Voici donc cet extrait du mail (on dit courriel) que Sir Hozan Kebo m'a posté ces jours-ci, jetez-y un coup d'oeil qui abolira peut-être le hasard, sait-on jamais ? Puis lisez sans vergogne, sur le thème des rubriques de la poste c'est peut-être moins extravagant que la lettre d'Eva Jolie à sa chhère France, mais comme on n'a pas fait exprès... Je vous laisse savourer le courrier et le poème par la voix du maestro.

 

dés.jpg

 

"[...] Ce matin j'ai (comme tous les jours - certains ou incertains) était lire vos "CJ"

Sonia arrive, à très grandes enjambées, sur son gilet vert pomme molletonné, un carré épinglé "City marché, le sourire en plus", en dessous de la poche, un rectangle en carton plastifié découpé au cutter avec écrit, au marqueur rouge en gros "Sonia". Sonia est jeune, 20 ans, à peine, c’est elle qui s’occupe du "Rayon Beauté",

Quand j'ai lu ces lignes j'ai eu, comment dire , une sensation de "déjà vu" ou plutot de "déjà lu"
mais sans aucune reminiscence précise
Ce soir j'ai relu votre billet et  soudain déclic !

Il m'a fallu presque une heure pour retrouver le texte qui avait déclenché cette sensation de déjà lu
(j'ai un giga dossier "POESIE" qui contient des centaines et des centaines de "dossiers" sous dossiers fichiers
un labyrinthe où je ne m'aventure désormais que fort  rarement

j'ai fini par retrouver ce que je cherchais sans savoir exactement ce que je recherchais
le "fichier" date de 2003
vous allez voir  la coïncidence est assez troublante".


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"Les plis des bouches des gens les plis qu’ils ont les gens
à leurs bouches
qu’elles font leurs bouches

« AVEC NOUS VOTRE VIE A DU GOUT ! »

leurs yeux leurs peaux leurs vies les plis qu’ils ont les gens
à tout ça
comme des traits

de quelle plume ?

« AVEC NOUS VOTRE VIE A DU GOUT ! »

- non la carte c’est à partir de 10 € monsieur
- ah bon ?
lasse Sonia bouche lasse yeux las
encore trois heures d’au revoir bonne journée bonjour monsieur

« AVEC NOUS VOTRE VIE A DU GOUT ! »

MOINS 20 30 40 50 % ! ! ! ! derniers jours !
derniers jours !

couleurs criardes de fin d’un monde mais
rien dans les yeux des gens

leurs yeux leurs yeux leurs yeux comme des faux yeux

« AVEC NOUS VOTRE VIE A DU GOUT ! »


 HK/LR, 2003.





Photos by frb : Variations sur thème:  Sonia le retour (1)... Un coup de dé... (2), "So so so...Sonia, partout et en tous lieux (3). Avril 2012.


Commentaires

en cherchant des infos sur le film dde Jan schomburg j'ai trouvé çette citation:
"même les rencontres du hasard sont dues à des liens noués dans des vies antérieures" -HARUKIMURAKAMI
mais comme je suis un chaud partisan de H poincaré je vais m'empressé de coller cette citation dans mon commentaire du film
merci!

Écrit par : alex | mardi, 17 avril 2012

@Alex : Joies des correspondances, ça se ramifie ailleurs les sujets se relient, j'aime beaucoup ça :), en plus, je suis très heureuse de croiser un chaud partisan de H. Poincaré, c'est pas si souvent... A noter qu'un grand ami de CJ (Herr Zack le fils caché d'Einstein, inventeur génial et caution scientifique de notre petit blog -il va rire- mais tant pis) qui officie très secrètement ici, et activement par ailleurs m'avait envoyé une chronique étonnante croisant la pensée et les recherches de H. Poincaré que je devais publier en Février, hélas entretemps j'ai subi un big bang dans la boîte postale, et nous sommes hélas encore à la recherche des textes perdus, mais je "taraude"depuis cher Zack ^ (j'en profite ici s'il nous lit) pour qu'il recherche dans ses archives cette chronique car son billet inspiré pourrait aussi t'intéresser... A suivre, donc...
Murakami c'est encore bienvenu que tu l'évoques ici, il se balade entre les mondes, dont pas un ne semble plus "vrai" qu'un autre ni plus faux, as tu lu "les chroniques de l'oiseau à ressort" ? Bon, les vies antérieures je ne sais pas trop , je n'ai pas assez étudié ce sujet mais chez Murakami j'ai trouvé un lien certain avec la fameuse "ritournelle" qui nous met parfois, dans des situations où les jeux de miroirs les relations sont troublants, semblent surnaturels, une trame fantastique de liens mêlés au quotidien, un monde de "surgissements" que ne renierait pas Gilles Deleuze...
De Murakami également il y a ce livre remarquable "Kafka sur le rivage" qui rejoint ton sujet mystérieux, avec la présence d'un vieil homme sachant parler aux chats et comprendre leur langage... Ces affinités imprévisibles avec des éléments dont on croit tout savoir ne sont pas seulement réservées aux adeptes "mystiques" il me semble. On peut aussi relire simplement Jean Follain....
Sur ce, on va direct relayer le thème par une balade chez toi, pour y découvrir ta chronique.
Encore merci, à toi, Alex.

Écrit par : frasby | mardi, 17 avril 2012

Pour Sonia, HK/LR & Frasby :

Nous ne voyons pas.
Vous voyez mais ce que vous voyez a une infinité d’angles de vue et chacun d’eux vous donne une vision différente de ce que vous voyez.
Tu ne vois pas.
Je pourrais dire que j’ai vu si j’étais non seulement arrivé à marcher tout autour de ce que je vois mais aussi à voler au-dessus, à ramper au-dessous : et encore faudrait-il que l’homme aille bien plus loin, que la femme entre à l’intérieur de tout ce que les enfants voient pour avoir vu.

Pour voir, il faudrait que tu élèves des échelles tout autour de ce que je vois, que tu élèves des échelles à toutes les distances avec des barreaux à toutes les hauteurs, puis que nous empruntions chaque échelle et que l’homme monte sur chaque barreau.
Car nous voyons mais nous ne voyons que par un seul endroit de notre corps. Nos yeux se sont ouverts seulement sous notre front.
Je ne vois qu’à l’endroit de mes yeux.
Si tu pouvais voir de partout sur ton corps, si des yeux s’étaient ouverts partout, à toutes les hauteurs, des pieds à la tête, les hommes verraient partout à la fois, les femmes verraient le monde de partout à la fois.
Pour voir, il faudrait que tu suives des yeux ce que je vois et que tu tournes tout autour en reculant d’un pas à chaque tour, ainsi jusqu’au plus loin, jusqu’à ce que tu ne voies plus ce que nous voyons. Puis que tu continues à suivre des yeux ce que je vois et que tu continues à tourner tout autour de ce que l’homme voit en montant d’un pas à chaque tour, ainsi jusqu’au plus haut, jusqu’à ce que tu ne voies plus ce que la femme voit. Puis que tu continues encore à suivre des yeux ce que je vois et que tu tournes tout autour de ce que nous voyons en descendant d’un pas à chaque tour, ainsi jusqu’au plus bas, jusqu’à ce que tu ne voies plus ce que l’homme, la femme et les enfants voient car voir c’est aller jusqu’à ne plus voir, c’est ouvrir les yeux jusqu’à pouvoir les fermer. Voir, c’est aller jusqu’à faire disparaître l’image vue. Voir, c’est aller jusqu’où nous ne voyons plus, c’est aller partout, si loin et si près de ce que vous voyez que ce que vous voyez disparaît.
Voir, c’est comme s’être vu soi-même de partout : du dessus, du dessous, de tous les côtés, de tous les angles, à toutes les distances ; c’est avoir fait le tour complet de son corps entier jusqu’à ne plus voir que le bout de son nez, jusqu’à avoir été si loin et si près de soi que l’on ne se voie plus jamais en entier.
Voir, c’est comme s’être vu soi-même au plus près et au plus loin jusqu’à ne plus se voir soi-même qu’à travers les autres yeux qui nous voient. Voir, c’est aller du plus près au plus loin de ce que nous voyons jusqu’à ne plus voir ce que l’homme voit, jusqu’à voir ce que la femme ne voyait pas.

Écrit par : Michèle | vendredi, 20 avril 2012

@Michèle : Je n'en reviens pas ! c'est le grand 8,
quel texte ! comment le dire ? (- "Tu ne dis pas":)
J'ai l'impression qu'il va me manquer des consonnes (et des voyelles aussi) et des échelles et des yeux, des faux yeux, des vrais yeux...
Je suis renversée, c'est magnifique !

Merci infiniment, Michèle
vous savez, j'ai lu ce texte deux ou trois fois, il me "sonne, il est "sons"
Ce n'est pas seulement un texte avec des sons,
c'est de la musique, c'est de la mathématique,
c'est comme une partition de Bach On ne sait pas comment c'est construit, et on l'entend, pourtant clairement, épidermique comme la musique. Je suis en train de rêver à la voix
Une voix qui dirait :

"Nous ne voyons pas.
Vous voyez mais ce que vous voyez a une infinité d’angles de vue et chacun d’eux vous donne une vision différente de ce que vous voyez.
Tu ne vois pas." ...

Il me manque la voix.
et il me manque le souffle, le souffle que je vois entre les mots
(enfin, que j'imagine)
Vous avez fait très fort, il faut que je me remette, d'ailleurs, j'espère que je ne m'en remettrai pas :) ...

Je vous embrasse.

Écrit par : frasby | vendredi, 20 avril 2012

-leurs yeux leurs yeux leurs yeux comme des faux yeux -

Dès qu'on parle des yeux les yeux leurs yeux, c'est le texte de JL Parant que j'ai sous les yeux :) ...

Écrit par : Michèle | vendredi, 20 avril 2012

@Michèle : votre second message n'était pas arrivé, quand j'ai répondu, côté musique, c'est "jouable",non... ? Encore hasardeux mais je crois bien que Parant est assez lié à la musique, je dois avoir ça dans mes archives je ne sais plus dans quelle valise ...Et puis les yeux, ben oui ! JL Parant, une évidence ! je n'y aurai pas pensé, vous êtes quand même sacrément inspirée, belle glaneuse de la blogosphère...
je connais peu Parant juste par d'autres auteurs, enfin, un surtout : Jean Dubuffet via les "horloges d'amour" mais c'était il y a déjà quelques années... Un survol trop léger. Le texte que vous avez déposé ici ce matin, est assez sidérant.

Les faux yeux quand je les ai lus, chez Hozan Kebo, en premier j'ai pensé aux ocelles sur les ailes de certains papillons... L'art du camouflage... j'étais un peu à l'ouest (de JL Parant ...), c'est dingue cette obsession des boules et des yeux...

Écrit par : frasby | vendredi, 20 avril 2012

Parant c'est une vieille histoire, ce n'est pas dans la blogosphère que je l'ai découvert. Par contre c'est la blogosphère qui m'a permis de "vous" le servir en quelques clics.
Oui c'est dingue cette obsession des boules et des yeux :)

Écrit par : Michèle | vendredi, 20 avril 2012

@Michèle : Com/com : "Parant, c'est une vieille histoire"...
(tecte sephra a quueleq cohes ed calanien, qnad no al gradere beni :), les vieilles histoires c'est encore plus "marchant", il y a donc une vie ailleurs avant/ pendant le ouèbe ? Ouf ! celle ci ne nous dérobera pas nos vieilles histoires avec des milliers d'yeux comme des webcams, des clics assez chronophages, foin de la râpe à Noïa, l'outil est encore merveilleux, pour partager les découvertes, en vases communicants (et le vice versant...) c'est même de la magie, au quotidien, côté service, vous assurez+ qu'un brin, et moi j'ai beaucoup de chance, à la suite de votre com j'ai fouiné et j'ai lu à propos de JL Parant :

"Tu es né en 1944, l’année des inventions de la bombe atomique et de l’ordinateur, l’année de la matière qui éclate en s’éboulant et de la pensée qui s’imprime.
Comme si ta fabrication de boules et de textes sur les yeux était la réflexion touchable/invisible et intouchable/visible de la matière et de la pensée. Les boules et les textes sur les yeux sont des morceaux de matière et de pensée saisis en plein vol, saisis dans leur cours ininterrompu à travers l’espace et le temps sans fin de ton corps, de ta tête et du monde qui t’entoure.
Comme s’il existait un « original » de la matière et de la pensée du monde et que les boules et les textes sur les yeux n’en étaient que les reproductions les plus singulières et les plus fidèles. Comme si tes boules et tes textes sur les yeux n’étaient que les impressions du déroulement logique de ta matière et de ta pensée, comme la bombe atomique et l’ordinateur seraient les résultats du développement logique de la matière et de la pensée du monde."

c'est extrait de "Jean Luc Parant par Kristell Loquet": "Les yeux" paru chez José Corti.

Une question me titille, vous n'êtes pas obligée de répondre c'est par plaisir de la question, en charmillon
Têses souv jàdé élela au Busi des Rabonnies ?

bonus : me manquait la voix, j'ai trouvé,( trapageons ! trapageons !) : http://www.youtube.com/watch?v=OKc_wVx0lUc

Encore merci pour vos abexu exuy'z à sovu !

Écrit par : frasby | vendredi, 20 avril 2012

Port négial cette xoiv et vos abexu exuy'z à vous ! :)

Sephra calanienne oui, croyez pas si nieb ride !

Je répondrais volontiers à votre question mais suis pas ruse de nieb lire le mon "Busi des Rabonnies" (Rabonnies oui saim Busi ? :)

Écrit par : Michèle | samedi, 21 avril 2012

@Michèle : la xoiv cte's supl rélaveturé ed l'icret, uqe l'icret ulse (ej veutro:) la xoiv peut tricher mais le timbre affecte toutes les constructions, et peut faire douter la crédibilité,
Chez JL PARANT il paraît évident que "cette" voix ne ment pas,
ce voile dans la voix est frappant, peut être est-ce celui qu'il refuse de mettre sur les yeux qu'il fabrique ? uh uh !
(c'ste ud calanisme à 3 uboles du vandi ed la cranbote de cretinas juros ! :) = puisque ce voile existe il faut bien le mettre quelque part... (Quinesto)

La Sephra calanienne, oui il me manque du vasoir et des pricathes, mais j'ai lu une chose bien redoutable sur la naissance de JL Parant...

souv sap pomcrende BUSI ? :) "no tasi busi ? Busi busi...
= l'arsbute ed l'éphinipae autant que luice des Rabonnies
civoi nu iniced ⬇

BUSI= XUBUS= http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/bd/Buxus_balearica.jpg

Écrit par : frasby | samedi, 21 avril 2012

Oui c'est redoutable ce texte sur la naissance de Parant et je vous remercie de nous avoir déniché ça.

Ce serait un sacré truc que chacun recherche où en était le monde l'année de sa naissance (entro naissance à chucan :)

Busi, alors j'avais bien compris oui, hé bé alors c'est non méja élela au Busi des Rabonnies... :)
ya des loubes à Parant ? :)

Écrit par : Michèle | samedi, 21 avril 2012

@Michèle : Oui, tellement redoutable que je n'ai pas transmis le passage le plus douloureux qui est celui ci (toujours extrait du même livre "Jean Luc Parant par Kristell Loquet" :

"Tu me racontes que tu es né le 10 Avril 1944, à Mégrine dans la banlieue de Tunis, au milieu d’une explosion qui fit perdre à ta mère toutes ses dents [...]"

Terrible entrée dans le monde...
L'idée de suggérer à chacun où en était le monde au moment de sa naissance, est une sacrée proposition, peut-être, que ça a déjà été fait ? Je ne sais pas. C'est une idée tellement tentante...

Busi is not busy, vuso eviaz tuto pomcris :)
Vous n'êtes jamais allée au busi des Rabonnies ? j'aurais cru ..
moi non plus et je ne sais pas s'il y a des boules à Parant (Calan ross ed sec scrop !!! ;-) boules à Parant, voyons... Euh... je chèse. Gougue oeil, réponds moi ! voilà j'ai peut-être un élément de réponse : Je lis sur le site de Jean Luc et Titi (les Parant, donc :)

"Le Bout des Bordes
Le lieu des boules des yeux
et des horloges d'amour"

A votre avis ? :)

Écrit par : frasby | samedi, 21 avril 2012

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