vendredi, 03 octobre 2008
Où est le problème, monsieur Jacquard ?
"Eh ! quoi ! ne dites-vous pas vous-même que le ciel et les oiseaux prouvent Dieu ? non, car encore que cela est vrai en un sens pour quelques âmes à qui Dieu donne cette lumière, néanmoins cela est faux à l'égard de la plupart"
PASCAL extr: "Les pensées"
Statue Jacquard (1), place de la Croix-Rousse à Lyon, par une très belle journée d'automne.
(1) Monsieur Jacquard Joseph-Marie révolutionna le tissage de la soie grâce à son invention du métier à tisser CLICK semi automatique CLICK, cette statue se trouvait à l'origine place Sathonay à Lyon (dans le 1er arrondissement) avant d'être transférée en 1901 à son emplacement actuel, elle était en bronze à l'origine mais elle fût fondue sous le régime de Pétain. A la Libération, on réinstalla une satue en pierre, l'oiseau, au fil du temps suivit le mouvement...
08:29 Publié dans De visu, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
jeudi, 02 octobre 2008
Vogue, la galère !
Perdus entre deux grands manèges (et pas des plus candides) la signalétique des arrêts de bus, sur le boulevard de la Croix-Rousse à Lyon se fait de plus en plus discrète à mesure qu'avance la vogue. En temps ordinaire, la signalétique, on ne voit que ça. Dans le meilleur des cas, si vous cherchez un 13, un 33 ou un 6,un 45, ou encore un 2, (non, je donne pas le tirage du keno!), vous vous retrouverez à tourner en rond dans une chenille, au manège sur une fusée ou dans une soucoupe volante, au risque d'atterir sur une autre planète. A moins qu'au pays du genre Schtroumpfs ou Blanche-Neige, on vous colle gentiment dans une maison en champignon et là pour en sortir, vous serez marrons (si j'ose dire...)
Pour rentrer chez vous sans galère petit nécessaire ICI
04:00 Publié dans Affiches, panneaux, vitrines, Balades, De visu, Le nouveau Monde, Mémoire collective | Lien permanent
samedi, 20 septembre 2008
Mirettes
Un doux tracé miraculeux émergeant de la rouille d'une porte métallique mal barbouillée. Vu dans le quartier de la Croix-Rousse à Lyon. Sept 2008.
Distraction du samedi ICI
23:55 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu | Lien permanent
Les cercles des poètes réapparus
Vapeurs d'absinthe sur les murs des pentes (savonneuses) de la Croix-Rousse à Lyon. Les poètes (Pouêts) nous ravalent la façade... Signés d'un copyright barré (est ce un anti "Re" auteur de notre favori bonhomme de ronds bâtons et croix ? CLICK ou "Re" lui même ? La réponse est peut être chez kl-loth (qui connaît presque tous les secrets de la bombe) ; et la légende nous est apportée par Solko, (si j'ose dire, sur un plateau). Je le cite : "Ceci dit votre tête de poète, c'est un Schtroumpf sans bonnet, un Shaddock las de pomper ou le croisement un peu rêveur, un peu narquois entre les deux ? " On ne pouvait pas mieux dire...
Je dédie à Kl-Loth et Solko cet instant de mur poétique.
23:50 Publié dans De visu, Mémoire collective, ô les murs ! | Lien permanent
mardi, 16 septembre 2008
La recherche du temps perdu
Mais où sont passés le ciel d'Août ? Celui du mois de Juillet ? Les ciels d'Avril ? Les cieux de Mai ?
Centre de nos recherches : rue Dumenge à Lyon Croix-Rousse. Année 2008.
20:18 Publié dans Balades, Ciels, De visu, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
mercredi, 20 août 2008
Comme un mercredi
Qui c'est ? Mais oui ! Il est de retour ! le petit bonhomme des murs de Lyon, le chouchou de nos graffs. Nous l'avons retrouvé rue Lemot, en vigie derrière un tuyau, sur les pentes de la Croix-Rousse ... Et pour ceux qui ne connaissent pas encore : zoom sur le personnage ICI + une version d'enfer sur le blog DAILY LIFE : CLICKCLICK
04:10 Publié dans Certains jours ..., De visu, Mémoire collective | Lien permanent
vendredi, 18 juillet 2008
The piper at the gates of dawn
Photographié rue Lemot à Lyon, sur les pentes de la Croix-Rousse, un beau "paste up" qui nous met en élégance avec le monde. Les murs s'éveillent et la musique tombe du ciel. Voici le parapet d'où l'on peut voir la mer. La belle proposition du précédent billet suggérée par Monsieur Epistolaire...Et ceci n'est sûrement pas du pipeau...ni de la flûte traversière, Peut être un jour, un musicien venu d'orient ou d'ailleurs nous donnera précisément, le mot, du pipeau de la rue... Comment s'appelle t-elle déjà ?
Ainsi je m'extasiais, ne pouvant plus quitter l'endroit, devenu hors lieu, puis me revint en tête le titre du premier album des PINK FLOYD de la grande époque SYD BARRETT (en 1967): "The piper at the gates of dawn" littéralement :"Le joueur de pipeau aux portes de l'aube" une référence au chapitre 7 du livre " Le vent dans les saules" de Kenneth Grahame, où l'on pouvait plonger dans les contes de fées ("Mathilda mother", "the gnome") ou monter très haut dans l'espace "Astronomy domine"...
02:41 Publié dans A tribute to, Art contemporain sauvage, De la musique avant toute chose, De visu, Le nouveau Monde, Mémoire collective | Lien permanent