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jeudi, 21 mai 2009

INCREVABLE 2098, ou le futur révélé par HOZAN KEBO

DALIDA is alive and well...

 

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Reportage exclusif réalisé le 18 Mai 2098 à Lyon par (HK/LR).

vendredi, 20 mars 2009

La vie devant soi

"Ce que je vois devant moi continue t-il d'exister lorsque je détourne le regard ?

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A chacun sa réponse, mais prenez votre temps tout de même, y compris pour en faire l'expérience à l'air libre, s'il vous venait l'ombre d'un doute... Quant à moi, cette vision de "barotte à carreaux" m'obsède tant aux retours de chaque marché (sur la colline, le marché, c'est chaque jour sauf le lundi), que j'ai déjà pour réponse, un semblant de petite idée...  Les roues tournent sans cesse au retour du marché une parmi toutes, et Dieu sait qu'elle y vont nombreuses, ces satanées barottes (unies, à carreaux, ou motifs chamarrés), les magasins de la colline ne vendent que cela. Celle-ci de style anglais, façon (écharpe en cachemire de Burberry) m'a invitée (de force ;-) au parcours le plus lent du monde, pour rejoindre un inaccessible banc de petits fruits de saison (pas moins de 15 minutes, 10 mètres à franchir tout au plus). Malgré une volonté de distraction, les yeux en l'air, contemplant les nuages, la forme des enseignes, trépignant sur moi même, détournant au possible, le regard de cette si peu ambulante "bête à chagrin", je crois être en mesure d'affirmer que ce que j'ai vu devant moi (pardon madame, ce n'est pas vous, mais votre barotte... Ahlala !) a bien continué d'exister (d'insister, diable !) tandis que mon regard ne faisait que s'en détourner. Cela étant, peut-être notre lecteur (avisé) retournera en tous sens la question jusqu'à faire mentir ma réponse (très approximative), que je livre sans jugeotte (ni barotte) au tout venant, ou bien, nous menant aux secrets d'une expérience vue, vécue, se fera très compassionnel... Ou encore, on l'espère, élévera le débat en des sphères plus philosophiques...  ;-) 

Photo : Au retour du marché de la Croix-Rousse à Lyon. Filature (pour la photo) de cette satanée barotte, insistant dans la trajectoire jusqu'à l'inaccessible destination... Vue (et revue) ce vendredi, ce 20 mars 2009. © Frb

samedi, 07 février 2009

Passer "entre"

Qu'est ce qui se passe "entre" ?

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Et comment passer "entre" ?

N'ayant pas la formule magique pour vous aider à devenir (terme cher à G. DELEUZE) des "intercesseurs", une fois de plus, je vous laisse avec les questions... Vous pouvez aussi vous exercer avec l'image, à l'art de la contorsion libre, je ramasserai les blessés pour en faire des billets. (Rien ne se perd tout se transforme). Allez ! Courage !

A propos de G. DELEUZE et des "intercesseurs", je vous recommande vivement la lecture de cet entretien avec le philosophe paru dans "l'autre journal", datant de 1985, repris dans l'ouvrage magistral "Pourparlers". Cette proposition, là, au moins, ne pourra pas vous faire de mal : http://www.paris-philo.com/article-4085506.html

Photo: Vue serrée sur le Ciel de Charolles. Décembre 2008. © Frb

jeudi, 25 décembre 2008

D'où viens-tu Père Noël ?

Comme un Jeudi...

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Tout le monde ou presque le sait, le Père Noël, ne vient pas du Père Noël même mais de Saint Nicolas dont il s'est largement inspiré. La barbe blanche, la mitre (devenue un bonnet de fourrure) et le long manteau rouge... St Nicolas voyageait sur le dos d'un âne, le Père Noël, lui, va sur un traineau tiré par des rennes. Dans certaines régions de France, (une coutume qui se perd), les enfants déposaient sous le sapin un verre de vin pour le père Noël et une carotte pour son âne. Chaque région donna au père Noël un nom bien différent: il est appelé "chalande" en Savoie, "père Janvier" en bourgogne et dans le Nivernais, "Olentzaro" dans le pays basque ou encore "Barbassionné" en Normandie.

Quant à Saint Nicolas, il a été  importé aux Etats-Unis au XVIIe siècle par les immigrés allemands ou hollandais où il aurait pris l'ampleur commerciale que nous connaissons actuellement, puis il y eût quelques transformations vestimentaires et culturelles pour le transformer en un Père Noël plus convivial et serait ensuite revenu en Europe. Pour les américains, Saint Nicolas est Sinter Klaas qui devint Santa Claus.

En 1821 : un pasteur américain, Clément Clarke Moore écrivit un conte de Noël pour ses enfants dans lequel un personnage sympathique apparaît, le Père Noël, dans son traîneau tiré par huit rennes.
Il le fit dodu, jovial et souriant. Il remplaça la mitre du Saint Nicolas par un bonnet, sa crosse par un sucre d'orge et le débarrassa du Père Fouettard. L'âne fut remplacé par 8 rennes fringuants.Mais c'est à la presse américaine que revient le mérite d'avoir réuni en un seul et même personnage les diverses personnifications dispensatrices de cadeaux.

En 1823 : L'événement qui contribua certainement le plus à l'unification de ces personnages fut sans aucun doute la publication du fameux poème de Clement Clarke Moore. Intitulé "A Visit From St. Nicholas", ce poème fut publié pour la première fois dans le journal "Sentinel", de New York, le 23 décembre 1823. Repris les années suivantes par plusieurs grands quotidiens américains, ce récit fut ensuite traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier.

En 1860, Thomas Nast, illustrateur et caricaturiste au journal new-yorkais Harper's Illustrated Weekly, revêtit Santa-Claus d'un costume rouge, garni de fourrure blanche et rehaussé d'un large ceinturon de cuir. En 1885, Nast établissait la résidence officielle du père Noël au pôle Nord par un dessin représentant deux enfants regardant, sur une carte du monde, le tracé de son parcours depuis le pôle Nord jusqu'aux États-Unis.
L'année suivante, l'écrivain américain George P. Webster reprenait cette idée et précisait que sa manufacture de jouets et sa demeure, pendant les longs mois d'été, était cachée dans la glace et la neige du pôle Nord.

En 1931, le père Noël prit finalement une toute nouvelle allure dans une image publicitaire, diffusée par la compagnie Coca-Cola. Grâce au talent artistique de Haddon Sundblom, le père Noël eût désormais une stature humaine (le rendant ainsi plus convaincant et nettement plus accessible), un ventre rebondissant, une figurine sympathique, un air jovial. La longue robe rouge fût remplacée par un pantalon et une tunique. Ceci est plus marqué aux Etats Unis, car en France, le père Noël a conservé une longue robe rouge.
Coca Cola souhaitait ainsi inciter les consommateurs à boire du Coca Cola en plein hiver. (eh oui! Coca Cola c'est ça!)
Ainsi, pendant près de 35 ans, Coca-Cola diffusa ce portrait du père Noël dans la presse écrite et, ensuite, à la télévision, partout dans le monde.

Une autre hypothèse existe, quasi estompée aujourd'hui des mémoires : Le Père Noël était Roi mage.

Une légende russe raconte qu'il existe un 4e Roi mage, qui conduisit sur la steppe un traineau tiré par des rennes et rempli de cadeaux pour les enfants. Depuis 2000 ans il a renoncé à trouver l'enfant Jésus, alors, depuis, il comble de cadeaux les enfants qu'il rencontre en cours de route.

Un Quatrième roi Mage, un peu cossard qui n'en ferait qu'à sa tête, l'hypothèse est plaisante, reste une question de taille: après Gaspard, Melchior et Balthazar, quel pouvait être le prénom du roi mage "Père Noël" ? Oscar ? Nestor ?  Isidore ? Dieu seul le sait...

Photo: Les Pères Noël du marché de Noël, situé place de la Croix- Rousse à Lyon, tout autour de la Statue JACQUARD. Décembre 2008. Frb©

vendredi, 07 novembre 2008

No chemins

IMG_0061.JPGToujours sur une palissade, une question. Celle ci étant particulièrement tarabiscotée, on peut toujours essayer de la relire, à l'endroit, à l'envers, et d'y répondre, encore faudrait-il savoir d'où viennent "les chemins sans fin qui ne mènent pas " et à quoi ils ne mènent pas. Je compte sur le lecteur charitable pour s'essayer à l'exercice de style.  La vérité étant toujours derrière la palissade... Il faudra de bonnes âmes, des têtes bien faites et des gros bras. Le premier qui trouvera, gagnera  la médaille du mérite de CERTAINS JOURS ainsi que les félicitations de la crémière qui lui remettra en personne son gros paquet d'estime, et un bouquet de violettes( si elle en trouve)... Je sens que ce genre de billet s'expose à un bide véritable, mais comme disait Pierre DE COUBERTIN...

Qu'est ce qu'il disait Pierre DE COUBERTIN ?

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Ca, c'est la question subsidiaire...  Je ramasse dans cinq minutes. Et on ne copie pas sur son voisin !

Photo: Montée de la grande Côte, sur les pentes de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008 ©

vendredi, 24 octobre 2008

Mur vu de dos

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Plus raffinée la déchirure corne la peau du mur. De multiples altérations créent sur la pierre, des carrés gris sur fond sablé (Plus proche peut-être, de DUBUFFET que de MALEVITCH "échos carrés", et encore...) A droite le papier remue l'air, un bras lui échappe. Il faut se battre. Rien n'est gagné.

Photo:" Ecorché de mur". Vu Rue Neyret près des anciens bâtiments des Beaux-Arts à Lyon. Octobre 2008.

samedi, 06 septembre 2008

Où sommes nous passés ?

WInston TONG "Comme les autres"
podcast

 

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lundi, 25 août 2008

Encore des mots

democrazy--k-yelloo.jpgAutre démo du mot  ICI