lundi, 24 décembre 2012
Ciel qui traîne
Les larmes du monde sont immuables. Pour chacun qui se met à pleurer, quelque part un autre s'arrête. Il en va de même du rire. Ne disons pas de mal de notre époque, elle n'est pas plus malheureuse que les précédentes. N'en disons pas de bien non plus. N'en parlons pas.
Samuel BECKETT : "En attendant Godot", éditions de Minuit, 1952.
Photo : Quelques jours avant minuit. Sous la dernière lune ou le répit. En attendant le petit (ou grand) jour, fêtez en paix, s'il est possible...
Lyon / Tabareau © Frb Décembre 2012.
23:23 Publié dans Actualité, Art contemporain sauvage, Arts visuels, Balades, Ciels, De la musique avant toute chose, De visu, Impromptus, Le vieux Monde, Mémoire collective, ô les murs ! | Lien permanent
dimanche, 08 juillet 2012
Coutances
Le dépaysement demande un pays d'origine
Photo: Comme un dimanche à Coutances inspiré par la lecture du petit livre de J.B Pontalis intitulé "Loin".
© Frb 2012
mardi, 08 novembre 2011
Le premier mouvement de l'automne (par Paul and me)
Avant l'hiver ...
Quelques bonnes lectures pour adorer les heures d'hiver:
Chemins de traverses :
http://souriredureste.blogspot.com/2011/11/rien-et-nu.html
http://epistolaire.hautetfort.com/archive/2011/10/11/anti...
Feuilles immortelles :
http://henrychiparlart.blogspot.com/2009/09/blog-post.html
http://henrychiparlart.blogspot.com/2009/08/art-maladif.h...
Belles lettres et fleurs des champs :
http://gros-buveur.over-blog.com/article-madame-bovary-88...
Un conte d'automne + un domaine à découvrir, "Jetz Happening"
http://ici-ou-la-cela.blogspot.com/2011/11/de-la-soupe.html
1er mouvement de l'automne, (et autres feux paillassons bio)
http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2010/08/29/le...
Photo § nota : Fugue bienheureuse (juste un extrait). Là bas près de la cabane du pêcheur de l'étang des clefs. Nabirosina à ses plus belles heures. Photographiée il y a un instant. Il ne voulait pas que je le dise, mais cela m'ennuyait beaucoup de ne pas rendre à César (sauf que c'est pas César) c'est Paul, le pêcheur de carpes malines (tout au Nagra) et surtout le photographe du jour, un ami ou frère de longue date (écrivain trop secret, preneur de sons) osera-t-il ? Avec quelques incorruptibles - (Vincent, François ?) et les autres... Des amis, ça c'est sûr, qui ont écrit beaucoup là bas ou commenté ici, encouragé, (ils se reconnaîtront) et puis, etc... qu'on choisira, ou plutôt s'inviteront, (s'ils le désirent) bien sûr au fil à fil pour prendre la suite de Certains jours d'où je me retire momentanément, le temps de créer autre chose ailleurs. Passer la main, ouvrir à d'autres voix, un certain temps n'est qu'une autre manière de retrouver le jeu, (le goût du jeu), la volupté d'y revenir. Cela ne regarde au fond que le thème de la fragilité (thème central du bidule), qui se perd parfois dans cet amalgame entre les mots (certains mots) et un langage (toujours incertain), une intention par ironie, un peu confondue. J'assurerai encore un instant, (techniquement) le passage et (ponctuellement) le courrier (de) certains jours, (fermé aujourd'hui exceptionnellement). Histoire à suivre ici et ailleurs, peut-être.
Merci à vous.
©Paul / Frb 2011
06:41 Publié dans Actualité, Art contemporain sauvage, Arts visuels, Balades, De la musique avant toute chose, De visu, Impromptus, Mémoire collective, Tapis rouge ! | Lien permanent