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mardi, 06 décembre 2016

Le Roux à l'intérieur

Dans un parc de Montréal, un écureuil vole une caméra GoPro. L’animal, chargé de son butin, se réfugie dans l’arbre qui lui sert d’abri. Puis il abandonne l’appareil, qui tombe à terre. Son propriétaire le récupère avec, en prime, des images ... 

Journal "LE MONDE" : http://www.lemonde.fr/planete/video/2016/08/10/un-ecureui...


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podcast

 

 

 

Ainsi, tout se délite et se re-combine autrement

(Raymond Roussel)

 

  

Photos: volées par l'écureuil, restituées à certains jours, sponsorisées par Go Pro, Orange, et le ministère des parc et jardins de France, dans le cadre de l'automne des poètes qui a lieu en ce moment, au parc de la tête d'or, dans les squares, les bosquets, dans l'arbre qui sert d'abri, par les rues, les sentiers, les boulevards, dans la jungle et le désert, sur les nids et les genêts pareils à la demeure, où viendra l'écureuil, le roux à l'intérieur, à l'extérieur allé ;

  

 

allez !

partout, partout,

le roux, le roux, le roux !

(Mallarmé)

 

 

Musique: "The Price of Freedom" par The Space Lady aka Suzy Soundz extr. de l'album "Street Level Superstar" (Owed to Boston)

 

 

samedi, 31 janvier 2009

Après le déluge...

"Aussitôt que l'idée du Déluge se fut rassise, un lièvre s'arrêta dans les sainfoins et les clochettes mouvantes, et dit sa prière à l'arc-en-ciel à travers la toile de l'araignée.
Oh ! les pierres précieuses qui se cachaient, - les fleurs qui regardaient déjà.
Dans la grande rue sale, les étals se dressèrent, et l'on tira les barques vers la mer étagée là-haut comme sur les gravures.
Le sang coula, chez Barbe-Bleue, - aux abattoirs, - dans les cirques, où le sceau de Dieu blêmit les fenêtres. Le sang et le lait coulèrent.
Les castors bâtirent. Les "mazagrans" fumèrent dans les estaminets.
Dans la grande maison de vitres encore ruisselante, les enfants en deuil regardèrent les merveilleuses images. Une porte claqua - et, sur la place du hameau, l'enfant tourna ses bras, compris des girouettes et des coqs des clochers de partout, sous l'éclatante giboulée.
Madame *** établit un piano dans les Alpes. La messe et les premières communions se célébrèrent aux cent mille autels de la cathédrale.
Les caravanes partirent. Et le Splendide Hôtel fut bâti dans le chaos de glaces et de nuit du pôle.
Depuis lors, la Lune entendit les chacals piaulant par les déserts de thym, - et les églogues en sabots grognant dans le verger. Puis, dans la futaie violette, bourgeonnante, Eucharis me dit que c'était le printemps.
- Sourds, étang, - Ecume, roule sur le pont et passe par-dessus les bois ; - draps noirs et orgues, éclairs et tonnerre, - montez et roulez ; - Eaux et tristesses, montez et relevez les Déluges.
Car depuis qu'ils se sont dissipés, - oh, les pierres précieuses s'enfouissant, et les fleurs ouvertes ! - c'est un ennui ! et la Reine Sorcière qui allume sa braise dans le pot de terre, ne voudra jamais nous raconter ce qu'elle sait, et que nous ignorons."

ARTHUR RIMBAUD : Extr: "Après le déluge" in  "Les illuminations" ( ou 54 poèmes composés entre 1873 et 1876)

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Le titre du recueil "Illuminations" fait allusion au sens vieilli du mot "illumination" à prendre ici dans le sens d'enluminures... "Après le déluge" est une fable sur le thème de la révolte. sa morale - ou plutôt son appel est telle une injonction glissée entre les lignes : "Révoltons nous" encore et toujours. Et même si le succès est improbable, cet éveil est de mise, tant que nous n'aurons pas découvert le secret douloureux qui nous empêche d'être heureux. "Après le déluge" est une fable qui repose sur trois histoires enchevêtrées :

1 -L'histoire du Déluge c'est à dire l'Histoire universelle, l'Histoire de la civilisation depuis ses origines telles que la racontent les mythes. Après que la colère de Dieu contre les Hommes eût entraîné la destruction quasi totale de l'ancien monde, la vie recommença comme avant : Superstition, travail, commerce, violence, mystifications artistiques et religieuses, amours mensongères...

2 - l'histoire de la Commune, c'est à dire pour RIMBAUD, l'histoire immédiate, les stéréotypes à valeur allégorique, utilisés par le poète évoquent THIERS, bourreau de la Commune, les grands travaux Haussmanniens, les expéditions coloniales de la III eme république, les affaires qui reprennent, le tourisme de luxe qui refleurit, les débats des milieux littéraires, et les divisions consécutives au "déluge révolutionnaire"...

3- L'histoire personnelle de RIMBAUD, sous une forme stylisée et quelque peu mythique, façonnée de texte en texte : enfance, départ, vagabondage, réinvention de l'Amour, révolte...

Ces trois histoires sont toutes trois des histoires de ruptures entre l'ancien et le nouveau.

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Photos: pierres figées au bord du lac gelé et puis lac en dégel avec, au loin vue sur le parc et les fermes du château en terres brionnaises. Décembre 2008.© Frb.

jeudi, 22 janvier 2009

Primum vivere, deinde philosophari

D'abord vivre, après (et seulement après) philosopher...

Ce précepte des Anciens, conseille d'accepter la vie avec toutes ses conséquences pratiques et morales avant de se livrer à des études purement spéculatives. Il s'applique à ceux qui discuttent à perte de vue, en oubliant parfois l'essentiel. Ce qui fera dire à KARL MARX : "Nous avons trop pensé le monde, il faut maintenant le transformer". Personnellement je préfère encore la formule "chimique personnelle" d'ARTHUR RIMBAUD (archiconnue, et modulable à l'infini ): "changer la vie". Mais bon. Pour l'heure, inutile d'en débattre.

Taisons-nous et vivons !

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Photo : Les hauts de Saône sont de prodigieux labyrinthes. Culs de sac, impasses, voies sans issues, villas comme cloîtrées, voies riveraines nullement souveraines etc ... Je m'y suis perdue un soir en suivant précisément ce panneau ("toutes directions", ça ne veut rien dire) planté au milieu de nulle part. (Vu l'inclinaison de la chose, j'aurais dû me méfier...). Heureusement, il y avait un coucher de soleil pourpre sur les splendeurs du Grand Vaise et les murs contre lesquels je me suis heurtée jusqu'à tourner bourrique et perdre mon latin me dévoilèrent quelques uns de leurs plus secrets ornements. Promis ! je vous montrerai tout cela un jour, (un certain jour ;-) Comme les "grands de ce monde", ici on ne transforme pas, on ne change rien. On promet.

Qui vivra verra...

A suivre donc...

samedi, 29 novembre 2008

Lumignons mignons vus d'une bicyclette

lights.pngPhoto: toujours les boucles d'oreilles de ma copine, pendues à tous les arbres de Lyon, quand on va dans la ville, la nuit, le nez en l'air, à bicyclette... Lyon. Rue de la République. Novembre 2008 ©.

mardi, 18 novembre 2008

voltigeur au rameau

"Je songeais ce matin que j'étais à l'entrée
Du beau verger d'Amour et qu'un désir ardent
me fit entrer au fond où j'allais regardant
cent arbres inconnus en toute autre contrée

Entre autres un rameau d'un fruit d'or se bravait;
tel que l'Hespérien ainsi qu'on dit avait.
Soudain pour le cueillir dessus l'arbre je monte.

Mais une branche alors se rompit dessous moi;
tellement qu'accroché à l'arbre en grand émoi
je béais à ce fruit avecque peine et honte"

Jean GODARD (1564- 1630). Extr: "Anthologie de la poésie amoureuse de l'âge baroque" (1570-1640).

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Jean GODARD est un poète satirique et heroïque, auteur dramatique, linguiste et grammairien ("La langue françoise 1620), Jean GODARD, parisien , a laissé outre des "Mélanges", de belles poésies amoureuses: ("Les prémioces de la flore" 1587), et "La Lucresse ou les secondes Amours" dans "oeuves, 1594), influencé par RONSARD, il aime comme lui, les scènes familières, les glissades sur la Seine gelée, une sieste où la belle dévoile quelques charmes CLICK, et il reprend de nombreux thèmes du lyrisme "mignard", mais sa préciosité est toujours tempérée par un léger humour. Ainsi corrige-t-il la mignardise de thème folâtre par une très discrète ouverture aux thèmes baroques. Les métamorphoses, les songes érotiques et leurs images mouvantes, les déguisements qui troublent l'identité sexuelle CLICK , les jeux de reflets et d'échos. Jean GODARD se contente de dire en sourdine, sans jamais hausser le ton, la terreur que suscite parfois Eros et le délicieux rêve de mutilation qui le hante.

Source: "Anthologie de la poésie Amoureuse et baroque " et notes de Gisèle MATHIEU-CASTELLANI. Librairie générale française 1990

Photo: Un peu plus qu'un rameau de feuilles pourpres dans le jardin, qui conduit en haut de l'esplanade à deux pas du plateau de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008 ©

mardi, 23 septembre 2008

Lettera Amorosa

" (...) Nos paroles sont lentes à nous parvenir, comme si elles contenaient, séparées, une sève suffisante pour rester closes tout un hiver ; ou mieux, comme si, à chaque extrémité de la silencieuse distance, se mettant en joue, il leur était interdit de s'élancer et de se joindre. Notre voix court de l'un à l'autre ; mais chaque avenue, chaque treille, chaque fourré la tire à lui, la retient, l'interroge. Tout est prétexte à la ralentir.
Souvent, je ne parle que pour toi, afin que la terre m'oublie..."

RENE CHAR :"Lettera amorosa". Illustrations de GEORGES BRAQUE et JEAN ARP. Poésie-Gallimard.( Petit livre sorti à l'occasion du printemps des poètes et des 100 ans de RENE CHAR.)

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Dans un petit livre mince au bleu brillant deux versions du poème "Lettera Amorosa" de RENE CHAR sont illustrées. On se souvient que R.CHAR appelait les peintres "ses alliés substantiels"...La première version rédigée en 1952 est accompagnée de seize oeuvres de l'artiste dada, JEAN ARP, (collages de papiers couleurs et découpages parfois peints à la gouache). Le manuscrit parfois raturé est une première esquisse du poème. En 1953, R.CHAR rédige une deuxième version que GEORGES BRAQUE illustrera dix ans plus tard (le projet de l'édition datant de 1958). Le poète et le peintre harmoniseront  soigneusement ensemble cette expérience. G.BRAQUE offrira au lecteur ses belles lithographies, profil d'une femme, d'un couple, motifs d'animaux, de végétaux, palette de violets, jaunes, verts, bleus aux luminosités splendides. Mais les correspondances du poème, ne se limiteront pas uniquement à la peinture elles seront tout autant musicales,"Lettera Amorosa", s'inspire, en effet,d'un madrigal de MONTEVERDI« Se i languidi miei sguardi », pièce pour voix seule et basse continue, extraite du VIIe livre (1619) des Madrigaux. Bien sûr, on se pose la question du destinataire de cette lettre amoureuse mais la réponse, est indiquée par R.CHAR lui même dans le bandeau qui accompagna en 1953 la première parution du texte :

« Amants qui n’êtes qu’à vous-mêmes, aux rues, aux bois et à la poésie ; couple aux prises avec tout le risque, dans l’absence, dans le retour, mais aussi dans le temps brutal ; dans ce poème il n’est question que de vous. » CLICK

Photo: Longtemps cachée dans l'arbre une "Tête d'Or", que l'on croyait enfouie... Vue dans la grande allée du Parc de la Tête d'Or, à Lyon. L'un des plus beaux parc d'Europe, infiniment doux en automne...

Luth consterné

"Dans un monde sans mélancolie, les rossignols se mettraient à roter."

Emil CIORAN

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Je lis dans le "wiki"que la mélancolie est une maladie mentale. La psychiatrie moderne la décrit comme une dépression, je lis que ça soigne avec des antidépresseurs : "IRSS ou IRSNA qui ont un effet monoamininergique, tout comme les tricycliques dont la tolérance est moins bonne" (sic). je lis que contre la mélancolie, on peut même prescrire de l'electro-convulsivo-thérapie (et ce n'est pas de la musique) voilà les grandes solutions. Et même si le mot de mélancolie vient du latin "melancholia", transcrit du grec "melankholia" (de "Mélas"= noir et khôlé"= la bile- littéralement" bile noire" nous ramènant au vieil HIPPOCRATE), je me dis quelquefois, que cette bande de saligauds auraient pu choisir un autre mot...(Pour cette exception que je ne chanterai pas les louanges de la polysémie). Et s'il fallait choisir de préférence, j'irai chez JEAN STAROBINSKI  LA MELANCOLIE AU MIROIR .pdf et WOLF LEPENIES qui ont désigné la mélancolie comme "une forme de mise à distance de la conscience face au désenchantement du monde". Là, ça convient.

Photo: Une forêt quelquepart dans un lieu bien caché. Un rêve de cabane, loin des bruits. Peut être une des dernières merveilles du monde qu'on nomme: Clôt-Boteret.

mardi, 16 septembre 2008

Le temps retrouvé

" La vérité suprême de la vie est dans l'art. "

Marcel PROUST in " Le temps retrouvé "

podcast

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Music : Keith RAYS: "Gamelans"

Photos: les ciels d'Août, celui de Juillet, le ciel d'Avril, Les cieux de Mai, ENFIN retrouvés...

mardi, 09 septembre 2008

Le Poète vu de dos traversant la ville à vélo

piste_cyclable.jpgLe bonheur n'est pas dans le pré, tous les cyclistes, vous le diront après avoir comparé, ils ont trouvé le pré trop carré, et le ciel pas assez haut. Le bonheur est sur un vélo, à glisser entre les autos ( oserais-je ? oui, j'ose! pour mémoire vous rappeler que le Jo (Dassin!) et son "A paris à vélo on dépasse les autos" enchanta même les cyclistes intellos versés dans les claviers bien tempérés, quand usant du tempo sur de rutilants pédaliers, ils comprirent que les envolées de ce cher Jean sébastien voire quelques virtuelles notes du Jo passaient aussi dans le paysage. Le poète, qu'on imagine déroulant sa vie dans du papier( velin ) à se pâmer sur ses plumiers, à versifier sur de vieux livres sortis des grenier de l'Emile, du Gustave, le poète qu'on croyait frêle ou de santé fragile avec pour ainsi dire sa fantaisie : un petit un vélo dans la tête, peut, lui aussi, par passion se retrouver suant sa prose, le nez dans le guidon, glorieux comme Napoléon, sur sa petite reine. Se retrouver : telle est bien l'expression.

Tout cela pour vous dire qu'il y eût plus qu'on ne croit quelques écrivains cyclistes;  dont l'un des premiers fût sans doute Edouard de PERRODIL. Auteur méconnu de plusieurs récits de voyages à vélo. Rédacteur au Moniteur universel, au Petit journal et au Figaro. Il participa à  deux reprises à la course Bordeaux-Paris (572 km) et entreprit aussi  de longs voyages, plus une traversée de l'Algérie qu'il a racontée dans plusieurs livres parus dans les années 1890  : "Un poète à Bicyclette" c'est ainsi que l'a décrit, l'historien du cyclisme Baudry de SAUNIER.

Alfred Jarry se classe quant à lui parmi les personnes qui ont " tenu sur ses fonts baptismaux le cyclisme " (" La mécanique l'Ixion "). Il a en effet adhéré à la section lavalloise de vélocipède dès 1889, puis acheté une bicyclette Clément Luxe modèle 1896, qu'il n'a jamais payée. C'est avec elle qu'il tentait d'aller plus vite que le train sur la route du Tripode à Paris (" La course des Dix Mille Milles ") et qu'il a suivi le cortège funèbre de Mallarmé.

Plus récemment, on peut citer Louis Nucéra, Paul Fournel, Jean-Noël Blanc, Gérard Mordillat, Bernard Chambaz, José Giovanni : ceux-là ont en commun d'avoir participé à la montée des Soleils de l'automne, qui se déroule en octobre au dernier jour de la fête du livre de Saint-Étienne (45 km jusqu'à la Croix-de-Chabouret, cf. Jean-Noël Blanc, La Légende des cycles). Ajoutons encore Maurice Leblanc, Émile Zola, Jules Renard, Jean Richepin, Tristan Bernard, Rodolphe Darzens, Pierre Lafitte (alias Jehan de la Pédale), Charles-Albert Cingria, Léon Tolstoï, Paul Morand, Cioran, Jacques Perret, René Fallet, Jacques Faizant, Patrick Straram, Jean-Louis Ezine, Christian Laborde, et dernièrement Jean de La Ciotat, pionnier de la littérature cyclosportive. René Fallet a fondé, en 1968, les Boucles de la Besbre, " épreuve internationale et clandestine, dont aucun calendrier ne tient compte ", où les échappées sont interdites et les vainqueurs connus d'avance.

samedi, 06 septembre 2008

Tendre est le soir

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Est ce que kl-loth dira de même  ?  Bulletin stéréo par    ICI

01:00 Publié dans Balades, Ciels | Lien permanent

dimanche, 24 août 2008

Comme un dimanche

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" Petit zoo de laine au dessus du mont Fuji "

Icare I

Ca n'allait pas loin mais ça commençait ...

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18:35 Publié dans Balades, Ciels, De visu | Lien permanent

vendredi, 15 août 2008

Un court instant

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12:33 Publié dans Balades, Ciels | Lien permanent

jeudi, 14 août 2008

la mûre, toujours

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dimanche, 10 août 2008

Comme un dimanche

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samedi, 09 août 2008

Puissances du faux

boeuf-limousin.jpgPhotographié pas loin de la tour octogonale d'Anzy le Duc, un vrai boeuf limousin ... A moins que ce soit un vrai gros charollais à qui l'on aurait fait  teinture auburn, pour la photo. Allez savoir...