mercredi, 10 septembre 2008
Sympathy for the devil
11:45 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu, ô les murs ! | Lien permanent
samedi, 06 septembre 2008
Préliminaires
02:29 Publié dans Actualité, Art contemporain sauvage, Arts visuels, Balades, Certains jours ..., Ciels, De visu, Impromptus, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
vendredi, 05 septembre 2008
Russian Haiku II
Nuit sous la pluie
Un réverbère dans la flaque
Essaye de ne pas se briser
ALEXEY ANDREYEV
ALEXEY ANDREYEV est né en 1971 dans la vieille ville russe de Novgorod. Il a étudié les mathématiques aux Etats-Unis et s'est intéressé à la poésie en particulier aux formes non -traditionnelles de la poésie russe : vers libres, haïkus, haïbun, palindromes etc Quelques uns de ses poèmes ont paru sur des sites internet dont "Reflections", "A haiku diary", "Shiki internet haiku salon" et "Teneta". Il a aussi fait paraître ses poèmes dans des revues américaines "Frogpond" et "woodnotes" et dans le Haiku world ("Kodansha" en 1996) et également publié des recueils de poèmes : "Pesenka shuta", "stikhotvoreniya" = (chanson de bouffon) en 1996. Il possède une revue électronique en russe "Lyagushatnik" - "Mare aux grenouilles" - dans laquelle il a traduit plusieurs haïkus canadiens avec la collaboration de Xenia VATNIK. (Hélas, je n'ai pas encore pu localiser ce site). A. ANDREYEV vit aujourd'hui à St Petersbourg où il travaille à sa thèse de doctorat en science informatique et à la rédaction de nouveaux recueils de poèmes.
Lien utile : La Définition du Haïku par ALEXEY ANDREYEV lui même : ICI
Notre photo : n'est pas un réverbère qui se liquéfie dans la flaque mais l'ombre d'un panneau de signalisation plongeant à pic dans l'asphalte, (le lecteur perspicace aura deviné ;-) Vu près du boulevard de la Croix-Rousse à Lyon, aux terrasses d'un café irlandais à l'heure de fermeture.
05:31 Publié dans A tribute to, Art contemporain sauvage, Arts visuels, Mémoire collective | Lien permanent
vendredi, 29 août 2008
La perte du monde à ma fenêtre
Voilà ce que j'ai vu ce matin en ouvrant ma fenêtre :
Désastre photographié récemment de ma fenêtre côté cour. Dans quelques mois, je vous montrerai la chose qui doit être prévue à cet endroit. Pour l'instant c'est ce qu'ils appellent : un projet .
Une question me tourmente : Où sont les chats ?
10:27 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
jeudi, 28 août 2008
On rentre à la maison...
Ma nouvelle maison, dans le Parc de la Tête d'Or à Lyon. N'est- elle pas formidable ?
01:08 Publié dans Art contemporain sauvage, Balades, De visu, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
vendredi, 22 août 2008
Quatre petits indiens ...
Art contemporain sauvage, juste à côté du mythique ELAC et de la non moins mythique salle Mermillon, quatre petits indiens (géants) gardent la sortie du parking de la gare de Lyon-Perrache ...
"Quatre petits indiens" à ne pas confondre avec "Dix petits Indiens", le film américain réalisé par RENE CLAIR en 1945, sur la trame du roman des "Dix petits nègres" d'AGATHA CHRISTIE.
Ni avec les "Dix petits indiens", film réalisé par GEORGE POLLOCK en 1965, toujours inspiré d'AGATHA CHRISTIE; (le terme "indiens" remplaçant celui de "nègres" pour le politiquement correct")
Ni avec le film britannique "Ten little indians" d'ALAN BIRKINSHAW datant de 1989 (autre titre "Death safari").
Pour ce jour (certain;-), les dix indiens qui nous intéressent ( et qui sont en réalité quatre ) restent sans doute les moins connus puisqu'il s'agit du groupe rock de la grande époque de "Boucherie production" : "DIX PETITS INDIENS". Abondamment graffés sur les murs de Pigalle à Bastille en passant par Belleville dans les années 90 et qui firent les grands délices de nos soirées parisiennes. Quelques trop rares traces subsistent dont ce superbe clip CLICK CLICK à revoir ou à découvrir, (ne me demandez pas si la désynchronisation du clip est volontaire ou malencontreuse, je n'en sais rien). Mais tout ce que je sais, c'est qu'il faut nous méfier des indiens qui dorment à plusieurs sur les écrans et les murs, ils peuvent à tout instant se réveiller. Nous serions ici les premiers à nous en réjouir...
05:01 Publié dans Art contemporain sauvage, De la musique avant toute chose, De visu, Le nouveau Monde | Lien permanent
mercredi, 20 août 2008
Ingénue se prenant pour un Picasso
Vue à Lyon sur les pentes de la Croix-Rousse, l'ingénue de la rue Lemot un brin boudeuse, qui entre deux fenêtres, prend la pose...
04:35 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu, Mémoire collective | Lien permanent
lundi, 18 août 2008
Le tour de Lyon en 80 mots
Descendue du train de Perrache, je visitai les places Bellecour, Terreaux et Célestins puis le palais St pierre et l'Opéra. Je montai à Croix-Rousse en bifurquant jusqu'à Fourvière. Un métro m'emmena à Vaise, un bus à la Duchère, d'où je vis la Saône que je traversai pour rejoindre le Rhône et le Parc de la Tête d'Or. Puis j'errai de St Jean à la Guillotière. Il fût alors temps de reprendre mon train.
Cette note est une variation sur le thème des 80 mots, inspirée par"Le tour du monde en 80 mots" (dérivé lui même des 80 jours de J. Verne) qu'un ami me posta, hélas sans préciser le nom de l'auteur. Pour l'instant nous cherchons à retrouver ce nom, afin de vous le communiquer. il faut rendre à César ...
08:11 Publié dans Art contemporain sauvage, Balades, Impromptus, Mémoire collective | Lien permanent
mercredi, 23 juillet 2008
Le veau doux est toujours debout
Le veau doux charollais est ici notre credo (à la st Thomas)... Il n'est pas une journée sans veau doux... Attachant animal qui toujours en silence ne fait que regarder, tout, tout, tout regarder comme si chaque jour était le tout premier de la création même. La leçon vaut bien une berthe du lait de madame mère (la vache douce)... Et bien sûr, devant tant de sagesse, de candeur, de tendresse, on se couche dans le pré, à ras les pâquerettes, on regarde le veau doux gambader, et tant pis pour le reste.
Photographié hier,dans les près de la belle région brionnaise...
17:23 Publié dans Art contemporain sauvage, Arts visuels, Balades, De visu, Impromptus, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
vendredi, 18 juillet 2008
The piper at the gates of dawn
Photographié rue Lemot à Lyon, sur les pentes de la Croix-Rousse, un beau "paste up" qui nous met en élégance avec le monde. Les murs s'éveillent et la musique tombe du ciel. Voici le parapet d'où l'on peut voir la mer. La belle proposition du précédent billet suggérée par Monsieur Epistolaire...Et ceci n'est sûrement pas du pipeau...ni de la flûte traversière, Peut être un jour, un musicien venu d'orient ou d'ailleurs nous donnera précisément, le mot, du pipeau de la rue... Comment s'appelle t-elle déjà ?
Ainsi je m'extasiais, ne pouvant plus quitter l'endroit, devenu hors lieu, puis me revint en tête le titre du premier album des PINK FLOYD de la grande époque SYD BARRETT (en 1967): "The piper at the gates of dawn" littéralement :"Le joueur de pipeau aux portes de l'aube" une référence au chapitre 7 du livre " Le vent dans les saules" de Kenneth Grahame, où l'on pouvait plonger dans les contes de fées ("Mathilda mother", "the gnome") ou monter très haut dans l'espace "Astronomy domine"...
02:41 Publié dans A tribute to, Art contemporain sauvage, De la musique avant toute chose, De visu, Le nouveau Monde, Mémoire collective | Lien permanent
mardi, 15 juillet 2008
Transmission
"[…] Il n'y a pas de peintres engagés et d'autres non. Nous ne dominons jamais les événements, ils sont plus forts que nous. On se contente de penser, de stimuler ou de réagir. Mais collectivement ou dans la solitude de l'atelier, les artistes peuvent incarner l'idée que, jour après jour, les choses peuvent bouger. L'idée qu'ils peuvent changer quelque chose dans l'histoire de l'art, même un tout petit peu, ajouter un petit caillou blanc, est une idée tellement forte. C'est d'ailleurs la seule, et qui concerne tous les gens qui inventent, aussi bien les savants que les musiciens, les écrivains - tous ceux qui montrent que ce n'est jamais la fin de l'histoire, la fin du sens, la fin de l'art, la fin de tout. Nous servons à créer de petites subjectivités qui peuvent, après, être exemplaires pour le reste de la société. Selon Deleuze, l'acte de création est un acte de résistance. L'artiste ne peut parler correctement aux autres que s'il parle correctement de ce qu'il a fait. […]"
Gérard FROMANGER. CLICK
Peinture effectuée par usure et frottement du temps (Du temps qui passe, du temps qu'il fait) vue sur un mur de la Montée de la Grande Côte à Lyon en juillet 2008 . Par un beau hasard objectif, les sujets étant fort croisés en ce moment , je vous renvoie à nouveau sur l'excellent blog de KL-LOTH : un billet qui par ses multiples sens et un lien très prècis pourrait vous en apprendre encore sur le recyclage poétique du réel...
02:05 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu | Lien permanent
Transmutation

01:35 Publié dans Affiches, panneaux, vitrines, Art contemporain sauvage, De visu | Lien permanent
mardi, 17 juin 2008
Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes consumés par le feu
"In girum imus nocte et consumimur igni" est le titre d'un film de Guy Debord réalisé en 1977 et achevé en 1978, considéré comme le plus beau.
Voici un film où je ne dis que des vérités sur des images qui sont toutes insignifiantes, ou toutes fausses, un film qui méprise cette poussière d'images qui le compose. (G.D)
Guy Debord est mort le 30 novembre 1994 à l'âge de 62 ans, refusant à la maladie le droit de lui ravir son indépendance, il se tire une balle de carabine en plein coeur.
(Pour visionner un extrait du film il suffit de cliquer dans l'image)
vendredi, 30 mai 2008
La nuit remue
Paddy's Corner : pub irlandais (boulevard de la Croix-Rousse à Lyon, et son toucan dessiné par le serveur irlandais qui nous demandait si on aimait son toucan. Bien sûr, on l'adore ton toucan !
vendredi, 23 mai 2008
Coït céleste
Hier, fin d'après midi place A. Poncet à Lyon. L'extatique regain de nos fontaines (mes amis quelle leçon !) Serions nous trop petits pour cette ville, cher amour ? Tu me dis que non ? Pourquoi Non ? Et quelle est cette langue que je ne comprends pas ? Ce charabia. Qu'est ce qui est retrouvée, dis ? C'est qui "elle "? Hein ? (Oui, oui, on cherche !) ...
22:19 Publié dans ???????????, A tribute to, Art contemporain sauvage, Arts visuels, Balades, Ciels, De la musique avant toute chose, De visu, Impromptus, Mémoire collective | Lien permanent
mardi, 20 mai 2008
Tolerable Beauty
Il s'agit sans doute d'une oeuvre "Arte povera" de cet artiste lyonnais anonyme qui propose depuis longtemps dans la ville des installations éphémères contre et autour des arbres. L'artiste n'ayant pas désiré nous indiquer les lieux précis de ses expositions (pourtant fort nombreuses) dans une démarche volontaire d'interaction aléatoire avec son public nous vous rendrons compte très prochainement de ses travaux ici même et suivrons pas à pas l'évolution de son oeuvre in situ partout où nous irons.
Photographié en Mai 2008 à Lyon Croix-Rousse dans une rue perpendiculaire à la rue Denfert Rochereau
18:05 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu | Lien permanent