samedi, 19 juillet 2008
Partir
20:08 Publié dans Balades, Ciels | Lien permanent
jeudi, 17 juillet 2008
L'embarras du choix
Monde à deux vitesses tel les deux anses d'un même panier (de crabes ou de poissons volants.) Deux solutions peut être ? ... Ou bien le mur, ou simplement prendre l'élan. Ce qui n'est pas si simple. Toutes autres propositions étant bienvenues...
Univers clivé vu à Villeurbanne, un jour de juillet 2008.
17:29 Publié dans Actualité, Balades, De visu | Lien permanent
jeudi, 10 juillet 2008
Au dessus des poudrières et des aigres combines
Comme si le ciel était peuplé de moutons et de bêtes féroces...
20:15 Publié dans Balades | Lien permanent
lundi, 07 juillet 2008
"Personne ne s'en aperçoit"
13:15 Publié dans Actualité, Balades | Lien permanent
"Personne ne s'en aperçoit"
12:25 Publié dans Balades, Mémoire collective | Lien permanent
jeudi, 03 juillet 2008
L'issue dans le ciel avec un diamant
Cette photo a été prise le 02/07/2008 à Lyon au milieu de l'après-midi ;-)
01:21 Publié dans Balades | Lien permanent
Toupie dans le ciel
Un élément étrange s'est glissé dans le paysage . A vous de le découvrir
"Toupie dans le ciel " est aussi le nom d'un sous titre d'une pièce acousmatique de François Bayle CLICK composé en 1979 et contenu dans la pièce "Erosphère". Vingt sept brèves cellules qui s'enchaînent et se fondent dans l'apparente unité du mouvement. Par moment le tissu est troué de ciels piqués de petites comètes. Fines lignes et ronflement provenant du chant d'une toupie en rotation". Pour écouter un extrait : C'est ICI
Photographié à Villeurbanne le 02/07/2008
00:10 Publié dans Balades, De visu, Mémoire collective | Lien permanent
mardi, 01 juillet 2008
Under my cloud
17:43 Publié dans Balades | Lien permanent
Paradoxe
" Actuellement, l'accélèration, se révèle être une manifestation paradoxale car elle ne peut atteindre son but, c'est-à-dire gagner du temps, qu'à condition d'investir plus de temps dans l'effort qui devra être fourni pour prendre de l'avance. Le gain de temps moderne coûte lui-même de plus en plus de de temps, un temps qui, une fois passé, n'est plus disponible pour des objectifs ne servant pas à gagner du temps... "
LOTHAR BAIER extr. de : "Pas le temps !" Traité sur l'accélération. Essai traduit de l'allemand par M.H Desort et P.Krauss. (Editions Actes Sud 2002)
16:58 Publié dans Actualité, Balades | Lien permanent
dimanche, 29 juin 2008
Comme un dimanche
On the road again ...
03:45 Publié dans Balades, Mémoire collective, Transports | Lien permanent
Oublier la ville
Parc de la tête d'Or,à Lyon,un dimanche de juin après 20H00.Herbes,arbres ciel ,plus loin,en arrière plan,on voit le bleu du lac qui s'agrandit,s'arrondit prend toute la lumière. Il suffit d'emprunter un petit chemin,bordé de bancs en bois et de marcher,ou de lever les yeux plus haut, tête bercée par les ombrages,sentir d'où vient le vent. Il ne se passe rien d'autre que cela mais a-t-on besoin d'autre chose ?
00:20 Publié dans Balades | Lien permanent
Les ombrages
Le fameux petit chemin...
00:15 Publié dans Balades | Lien permanent
La petite roseraie sans les roses
Quelquechose de la hutte en bambou,un brin grec,un brin chinois ,en décoiffé d'épines de roses .Beaucoup plus chic avec les fleurs mais à cette saison on n'a pas ...
00:10 Publié dans Balades | Lien permanent
mardi, 24 juin 2008
Le Répit
Villeurbanne ,quartier des Gratte ciel. Sculpture réalisée par Pendariès,"le Répit de l'Agriculteur"est plus connu sous le raccourci de "Répit".Un autre "Répit" plus célèbre existe ,c'est le "Répit du Travailleur" sculpté en 1907 par Pendariès pour la ville de Paris et qui se trouve square Jean Pierre Timbaud. C'est Lazare Goujon maire de Villeurbanne à l'époque,qui remarque cette statue à Paris et souhaite en avoir une pour sa ville plus grande que l'originale.La pièce,taillée dans un bloc de 3,5 tonnes sera installée en 1932 simultanément à la construction des Gratte ciel.
21:36 Publié dans Balades, De visu, Mémoire collective | Lien permanent
Partir
21:25 Publié dans Balades | Lien permanent
Partir,rester ?
"Le dessein en est pris,je pars,cher Théramène,
Et quitte le séjour de l'aimable Trézène.
Dans le doute mortel où je suis agité,
Je commence à rougir de mon oisiveté..."
Premières phrases prononcées par Hippolyte dans "Phèdre" Acte I -Scène 1 / Jean Racine (1639-1699).
20:54 Publié dans Balades, De visu, Mémoire collective | Lien permanent