lundi, 05 janvier 2009
Comme un lundi
28 secondes de lundi
05:27 Publié dans Art contemporain sauvage, Balades, Certains jours ..., Ciels, De visu, Impromptus, Le monde en marche, Le nouveau Monde, Mémoire collective, Transports | Lien permanent
mardi, 16 décembre 2008
Stratagème amoureux pour conserver son amant
"Ne cède pas trop facilement aux avances d'un soupirant mais ne repousse pas trop durement sa demande. Fais en sorte qu'il s'inquiète et qu'il espère en même temps et qu'à chacune de tes réponses, son espoir soit soit renforcé et que ses craintes s'évanouissent. les mots qu'emploient les femmes doivent être très élégants mais sans effet, ni recherche. Rien ne plaît davantage que le ton ordinaire de la conversation."
OVIDE: "Conseils aux femmes"
Photo: Vitrine pour dames. Petits souliers dorés pour dame (à grands pieds semble t-il). Lyon. décembre 2008 ©.
18:10 Publié dans A tribute to, Affiches, panneaux, vitrines, De visu, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
lundi, 17 novembre 2008
Comme un lundi
Il est des jours où tout est à sa place.
Photo: Boulevard de la Croix-Rousse. Ce lundi de novembre 2008 ©.
22:24 Publié dans Certains jours ..., De visu, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
dimanche, 16 novembre 2008
Comme un dimanche
Photo : Comme un dimanche, à pas prudents, sur le boulevard de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008.
05:32 Publié dans Balades, Certains jours ..., De visu, Le monde en marche, Le vieux Monde, Mémoire collective | Lien permanent
samedi, 15 novembre 2008
Sacre bleu
Calligraphie pastelle sur les pentes. La révolution de novembre appliquée aux couleurs tendres... Sur les pavés, le bleu du ciel. La plage est encore loin, mais les cerises du septième sel, elles, ne sont pas bleues. A VOIR ICI
Photo: Montée de la Grande Côte, Pentes de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2007 ©.
Autres temps, music and words: ICI
Autres couleurs, un extrait du "Fond de l'air est rouge": ICI + Un extrait de rétrospective, (du rouge encore, avec peut -être, rêve de maison bleue) : ICI
23:55 Publié dans Art contemporain sauvage, De visu, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
jeudi, 09 octobre 2008
Le siège d'Alceste
Assis sur une de ces nouvelles marches qui bordent les berges du Rhône à Lyon, Alceste est au repos. Il rêve la tête entre deux arbres, de la forêt d'en face, ou de quelques extases sous le dôme de Soufflot ...
08:40 Publié dans Balades, De visu, Impromptus, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
mercredi, 08 octobre 2008
Comme un mercredi (un peu brumeux)
Amoureux sur les berges du Rhône à Lyon, sous le regard d'une promeneuse solitaire. 08 Octobre 2008.
04:06 Publié dans Balades, Certains jours ..., De visu, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
mercredi, 24 septembre 2008
Comme un mercredi
Couple tranquille et tendre flânant place des Terreaux à Lyon, juste un peu à l'écart des citoyens en plein mambo et en pleine biennale de la danse...
19:29 Publié dans Balades, Certains jours ..., De visu, Le monde en marche, Le nouveau Monde, Mémoire collective | Lien permanent
Biennale de la danse ...
A Lyon ça danse partout ...Programme de la biennale ICI
17:36 Publié dans De visu, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
Papillons de lumière
Vue place des terreaux à Lyon, une élégante dame, en train de parler à ses papillons...
17:35 Publié dans De visu, Le monde en marche | Lien permanent
Nées sous le signe du gémeaux
Deux soeurs jumelles vues place des terreaux un mercredi de septembre... Très désoeuvrées depuis que la guinguette a fermé ses volets... CLICK
17:26 Publié dans De visu, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
mardi, 02 septembre 2008
C'est Mozart qu'on assassine
Je me souviens, d'une rentrée au conservatoire, elle eût quelque chose d'un peu féerique. Je n'avais encore jamais vu cela dans aucun autre établissement. Ainsi l'on y croisait régulièrement de grands trombones, d'énormes violoncelles, de gigantesques contrebasses, qui descendaient péniblement les escaliers en s'arrêtant souvent. Certains parfois tombaient, se relevaient, rien de grave, mais c'était merveilleux pour nous de regarder ces instruments aller, venir... On se disait qu'ils étaient là depuis longtemps, sans doute très vieux, c'était comme dans un conte de les voir courir comme ça, ces instruments de taille. Le respect s'imposait quand nous croisions ces bois, ces cuivres, nous leur adressions un salut respectueux. Nous si nouveaux venus, leur laissions notre place sur les sièges en plastique du grand hall d'accueil beige. Lorsqu'ils arrivaient titubant du quatrième étage nous les tenions un peu quand ils penchaient, ces vieux. Ainsi les jours qui suivirent, je m'habituai, des instruments qui vont qui viennent tout seuls ce n'est pas commun, mais on se fait à tout. Ce ne fût qu'une semaine plus tard, que nous comprîmes, quand, au niveau du troisième étage, il y eût une avalanche, un effet domino. L'une de ces contrebasses glissa sur une marche, et fit rouler les autres jusqu'au rez de chaussée. Nous étions cette fois certains que nos vieux rendraient l'âme, et que malgré les housses, il n'y aurait plus un son. Mais du rez de chaussée s'éleva un tintamarre, de cette masse explosée sortaient des cris aigus comme le miaulement des chattes à la saison. un lamento insoutenable. Les instruments gisaient en tas là, les housses éventrées, les bois presque en copeaux. C'est alors que nous vîmes sous cet amas de bois, de cuivre et de ferraille : gesticuler la jambe d'un tout petit garçon..
Cours Emile Zola à l'heure du gôuter. Photo prise à villeurbanne le 02 septembre 2008.
09:12 Publié dans De visu, Impromptus, Le monde en marche, Mémoire collective | Lien permanent
mardi, 17 juin 2008
Nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes consumés par le feu
"In girum imus nocte et consumimur igni" est le titre d'un film de Guy Debord réalisé en 1977 et achevé en 1978, considéré comme le plus beau.
Voici un film où je ne dis que des vérités sur des images qui sont toutes insignifiantes, ou toutes fausses, un film qui méprise cette poussière d'images qui le compose. (G.D)
Guy Debord est mort le 30 novembre 1994 à l'âge de 62 ans, refusant à la maladie le droit de lui ravir son indépendance, il se tire une balle de carabine en plein coeur.
(Pour visionner un extrait du film il suffit de cliquer dans l'image)